1. Jeanne au restaurant (1)


    Datte: 11/03/2018, Catégories: Lesbienne

    Jeanne au restaurant Je m’appelle Jeanne ; 40 ans, célibataire, 65 kg 1,70 m 80 C, cheveux roux, chef de rayon dans une grande librairie de Paris. En vacances chez ma mère à Bordeaux je vais souvent dans un petit restaurant derrière la place des Quinconces Aujourd’hui, attablée en train de lire ma revue hebdomadaire, je remarque en face de moi un couple dont la femme très élégante, habillée très court avec un corsage blanc laissant deviner une poitrine généreuse, consulte la carte des desserts. Se tournant dans ma direction la dame dévoile de splendides jambes au galbe parfait gainées de bas ou de collants noirs. Un regard furtif dans ma direction lui indique que mes yeux sont fixés sur ses jambes. Sans me regarder, elle croise puis décroise en promenant sa main sur le bas de sa jupe comme pour une caresse. Ces mouvements font remonter légèrement cette jupe déjà très courte jusqu’à découvrir la dentelle du haut de ses bas et la légère attache d’un supposé porte -jarretelles. Ce manège m’excite, je me sens mouiller mais néanmoins détourne mon regard. La dame se lève indiquant à son mari qu’elle sort quelques instants fumer une cigarette. Passant à mes côtés, elle me lance un regard appuyé. Curieuse, je me lève à mon tour et sors sur ses traces sur le trottoir. J’allume également une cigarette et c’est elle qui engage la conversation. « Vous venez souvent dans ce petit restaurant ? » « Oui quand je suis en vacances, l’ambiance est sympathique et la cuisine à mon goût » « J’ai ...
    ... remarqué que vous regardiez mes jambes avec insistance » « C’est plutôt vous qui me les montriez !» « Je voulais voire votre réaction » « He bien vous voyez, je suis sorti derrière vous car vous m’aviez excitée. J’avais également flashé sur votre corsage et de près je devine une poitrine agressive » « Si vous voulez la voire, venez prendre un café vers 15h, voici mon adresse. Mon mari sera au bureau, nous pourrons bavarder tranquillement de nos fantasmes » Nous rentrons chacune à nos places comme si de rien n’était. Un peu sonnée de la rapidité de la prise de contact, je consulte sa carte « Virginie Morange attachée de presse » suivi de son adresse son numéro de tel et son email. Mes pensées vagabondent en imaginant la séance de découverte qui m’attends. J’ai une envie folle de me masturber mais je crains d’attirer les regards. Le couple se lève, prend congé du serveur et se retire sans que « Virginie » ne détourne se regard vers moi. « Discrétion ! » Il est 15 h, je sonne à l’interphone : « C’est Jeanne du restaurant » « Montez ! 8ème étage, l’ascenseur ouvre directement dans l’appartement, je vous ouvre » A l’ouverture de la porte, Virginie est là, debout, drapée dans une longue nuisette violette transparente qui laisse entrevoir sa poitrine sans soutien-gorge, ses belles jambes longues, toujours gainées de noir et son porte jarretelles violet. Apparemment elle n’a pas de culotte et je distingue une touffe abondante dans son entrecuisses. « Je me suis mise à l’aise, c’est ...
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