1. Caroline et son gendre 1/2


    Datte: 11/03/2018, Catégories: Anal Mature,

    ... la pastille et à enfoncer son membre sans trop de difficultés.Et le reste de la nuit s'est passé ainsi, il m'a joui dans le cul, m'a prise à nouveau, il m'a fait éprouver encore plusieurs orgasmes jusqu'à ce que l'on s'endorme, épuisés vers quatre heures du matin.Je me suis réveillée le lendemain, j'étais seule dans le lit, j'ai trouvé un mot de Grégoire :< Je suis allé au boulot, je passe te prendre ce soir à la clinique.Je t'embrasse de partout. Grégoire. >Je suis allée voir Mélodie à la clinique, j'ai eu du mal à tenir une conversation cohérente, je ne pouvais m'empêcher de penser à mes agapes de la nuit, surtout que j'avais l'impression de sentir la présence du mari de ma fille au fond de mon vagin et de mon anus.Vers dix-huit heures, mon gendre est arrivé, il est resté un moment avec sa femme, puis nous avons quitté la clinique.À peine dans la voiture, je m'adressai à Grégoire :« Grégoire, ce qu'on a fait hier soir, ce n'est pas bien, cela ne doit pas se reproduire, j'ai eu honte toute la journée, j'avais l'impression que Mélodie était au courant, oublions cette nuit, d'accord ? »Ces paroles ont eu pour effet de déclencher un grand éclat de rire chez mon chauffeur :« Qu'est ce que tu racontes, tu t'es donnée par tous les trous et maintenant tu voudrais qu'on oublie ?.. Tu joues à la repentie, mais cette nuit quand tu avais ma bite dans la chatte et dans le cul, tu en redemandais !.. Je suis vicieux, mais tu l'es autant que moi… !.. Nous allons faire un pari : je vais ...
    ... mettre ma main entre tes cuisses et si, au bout de deux minutes, tu n'es pas mouillée, on oublie tout… ! »Il m'a écarté les cuisses et a introduit sa main dans ma culotte, glissant deux doigts tout contre ma petite fente. Le pari était déjà perdu, à peine ses doigts ont effleuré les lèvres de mon minou que j'ai commencé à mouiller et il n'a pas fallu une minute pour qu'il puisse les enfoncer dans une grotte trempée.Il a ressorti les doigts de ma culotte, les a léchés et s'est exclamé :« Pari perdu, Caroline, ce soir tu ne vas pas te reposer ! »Alors j'ai cessé de lutter et j'ai appuyé ma tête sur son épaule dans un geste d'acquiescement.Nous sommes arrivés à la maison. Pendant que Grégoire allumait la cheminée, je suis allée me changer.Je me suis habillée d'une guêpière porte-jarretelles blanche avec des bas de la même couleur, que j'avais mise par hasard dans ma valise et je me suis regardée dans la glace. Je me suis trouvée désirable, avec le volume de mes seins mis en valeur par le soutien-gorge laissant dépasser leurs pointes brunes et avec la toison foncée de mon pubis que ne recouvrait aucune petite culotte.Quand je suis sortie de la chambre, Grégoire a poussé une exclamation :« Mon Dieu, que tu es bandante ! »Il m'a prise dans ses bras et m'a embrassée, tandis que ses mains parcouraient mon corps. Je me suis dégagée de son étreinte et me suis dirigée vers les toilettes.Il m'a suivie :« Je veux te voir... ! »Je me suis assise sur la cuvette, j'ai écarté les jambes en grand ...
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