Agréablement égoïste
Datte: 11/03/2018,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
voisins,
hsoumis,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
... que c’est prévisible un mec en rut. Il y a d’abord sa manière de sortir de la douche. Un truc que j’entends à sa démarche et qui laisse présager du pire. Après, il y a sa manière de traverser l’appartement habillé de sa seule érection. Une érection inhabituelle, démesurée, une trique animale. Dans cet état, il doit se soulager, toute sa volonté est bandée vers cette seule issue. Désir de sexe à l’état pur, sans une ombre de tendresse. Pulsion brute, à laquelle doit se soumettre la femelle. Nous voilà déjà face à face, sa verge conquérante et moi. Je ne veux pas savoir d’où lui vient ce subit besoin de copulation. Il est évident que je n’y suis pour rien. Sans doute le souvenir d’une autre femme. Qu’importe, ce sont mes orifices qu’il veut, rien d’autre que mes orifices. Quand il est dans cet état, il porte haut les couleurs de son envie. Fier de sa voilure, il se transforme en navire de guerre, à l’heure de l’abordage. Je n’ai qu’à bien me tenir, si je veux résister à l’éperonnage. À moins de virer de bord bien avant l’assaut, toute fuite m’est impossible. Quant à la résistance, vue l’impétuosité du mâle, elle est vouée à l’échec. Avec le temps, j’ai compris qu’il ne me restait qu’à tirer le meilleur profit de la situation. L’expérience m’a permis de faire contre mauvaise fortune bon cul. Pour autant que j’arrive à anticiper ses intensions. Son objectif est clair, baiser sans retenue et jouir à couilles déployées. Tout se joue dans la manière et l’intensité de l’assaut. Mon ...
... apprentissage fut sans pitié. Mais, à force de cuisants échecs, j’ai découvert les gestes qui sauvent. D’abord commencer par mouiller abondamment son gland. Car elles sont douloureusement sèches, ces bandaisons express. Dès lors que ce désir-là ne s’assouvit que dans une pénétration brutale et très profonde, mieux vaut sucer abondamment avant de tourner le dos. C’est exactement ce à quoi je me prépare à l’instant, toute occupée à lécher le bout violacé de sa tige. J’ai posé préventivement mes mains sur ses fesses, dans l’espoir de sentir son prochain mouvement et d’éviter de me retrouver retournée sur le lit, inconfortablement perforée par son piston. Comme j’ai haï ces baises sans tendresse. Comme je me suis dégoûtée de m’y soumettre. Il n’empêche, contre toute attente, plus le temps passe, plus je me prends à y trouver certains avantages. Pas du plaisir, certes non, mais quelques satisfactions. J’enferme ses couilles entre mon pouce en mon index. Elles sont si gonflées que j’arrive à peine à en faire le tour. Sa pine tressaute de bonheur sous ce qui est, pour l’instant encore, une caresse. Dès que j’estime son mandrin bien huilé, je le conduit où je veux, par simple pression des doigts. Le mâle frissonne d’impatience et de douleur. Je le force à s’allonger sur le dos. Il comprend que je l’ai pris de vitesse et que toute résistance pourrait s’avérer douloureuse. Ma prise à réussi. Il va reprendre le dessus dans les secondes qui viennent. Qu’importe, placés comme nous sommes, ...