1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°867)


    Datte: 12/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pas de réponses à rabâcher, les coups tombèrent rapidement, mais sèchement me faisant rougir un peu plus mes deux globes, qui n’en avait pas besoin. Les coups étaient plus appuyés que sur ma poitrine, je hurlais à chacun d’eux, n’essayant même plus de retenir tout son qui voudrait passer la barrière de mes lèvres… La journée se poursuivit ainsi. Nous fîmes une pause d’une demi-heure, durant laquelle, j’eus l’honneur de sucer le Maître en me positionnant sous son bureau, le temps de son déjeuner, et ensuite j’eus le droit de laper une espèce de purée, nourrissante, bien que d’aspect repoussant, le temps de son café et de son cognac. Je n’avais l’autorisation de manger que durant ce laps de temps, donc je me dépêchais… L’interrogation qui suivit le déjeuner fut un peu plus facile, sinon, plus le temps passait, plus la position pluguée devenait douloureuse, plus mes fesses chauffées me déconcentraient, plus j’en étais excitée à faire couler ma cyprine et moins je retenais de données financières. J’appréhendais énormément le dernier questionnaire de la journée. Je regardais l’heure furtivement. Jamais je n’aurais le temps de relire tous les dossiers en diagonales pour me souvenir de tous… J’essayais tout de même de me rappeler des réponses qui m’avaient valu des coups sur les fesses, et tous les éléments des dossiers correspondant, supposant qu’il y aurait plus de questions sur ceux-ci. Pendant ce temps de réflexion, je me tenais un peu penchée au-dessus de la table, les yeux ...
    ... fermés, ne pensant pas à l’image que je pouvais renvoyer. - Eh bien ! Vu que tu as l’air de t’ennuyer, et que tu t’endors, on va commencer ! (Sa voix cinglante, me fit sursauter, et précipiter en position standard !) Et vu que tu te reposais, il n’y a pas intérêt à ce que tu ne saches pas du tout une réponse, sinon je peux t’assurer que tu le regretteras ! Et pour te réveiller, tu vas avoir besoin d’une position moins confortable… Il appuya sur un bouton, et quelques secondes après Walter entra, sur l’injonction de son patron. - Vous m’avez appelé, Monsieur le Marquis ? - Oui Walter, j’ai besoin d’un manche à balai et de huit mini pinces crocodile. - Bien Monsieur le Marquis ! Très vite, il revint avec le matériel exigé, et sur un signe, s’éclipsa silencieusement et discrètement. Le Châtelain posa le manche par terre à un mètre du fauteuil de son bureau, Il s’approcha de moi, claqua des doigts pour me faire mettre à genoux, me posa sans ménagement une pince sur chaque téton, puis trois sur chacune de mes lèvres intimes. - A quatre pattes, chienne ! Va jusqu’au manche à balai, et place-toi à genoux dessus. Aucune chance que tu t’endormes ainsi ! Les pinces me mordaient cruellement toutes ces chaires sensibles, le manche à balai était une torture à mes genoux posés dessus et paradoxalement cela m’excitait grandement ! Pour compléter mon « inconfort », le Maître m’enfonça également un long plug épais au plus profond qu’Il Lui était possible de mes entrailles… L’interrogatoire fut ...