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    Datte: 13/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... j’entendis un craquement sec, celui du bustier qui se déchirait complètement. Topless, Lucie continuait de se battre. En vain. Un craquement encore plus sinistre m’indiqua que les coutures de sa jupe n’avaient pas résisté. Maintenant nue, Lucie a paru s’avouer vaincue. Elle ne cherchait plus à se dégager de l’emprise de tous ces hommes que très mollement. LUCIE Lorsque tous ces types m’ont rattrapée et ont commencé à arracher mes vêtements, j’ai su ce qui allait m’arriver. Ce que j’avais vu dans ces vidéos, mon ultime fantasme était en train de devenir réalité. J’étais vraiment dans la peau d’une fille qui va se faire prendre en tournante, et j’avais peur. Et j’étais encore plus effrayée, en ressentant l’excitation qui montait en moi, malgré cette peur. Je me suis battue avec l’énergie du désespoir, pendant que mon bustier et ma jupe partait en lambeaux, mais cette exhibition contrainte faisait darder mes tétons, et couler ma chatte. Et puis, j’ai fini par renoncer à me battre. Même si j’essayais encore un peu de les repousser, j’avais envie d’être le jouet de cette horde de mecs en rut. En regardant autour de moi, j’ai découvert une série de queues en érection. Certains avaient juste ouvert leurs braguettes, mais d’autre enlevaient carrément leurs vêtements. Deux hommes me tenaient par les épaules, et un de ceux qui étaient nus a empoigné mes cuisses, m’a soulevé, et sans aucun préliminaire, il a enfoncé sa bite longue et dure dans mon abricot offert, en grognant. Je me ...
    ... suis encore débattue mais il s’est mis à aller et venir en moi, comme une brute. Mes plaintes se sont transformées en gémissements de plaisir, tant cette situation m’excitait maintenant. SIMON Voir Lucie, nue comme un ver, se faire prendre de force sous mes yeux m’a excité aussi à un point que je n’imaginais pas. J’ai enlevé, moi aussi, mon jean et mon polo, et j’ai baissé mon boxer, tant j’avais besoin de me branler. Je continuais à filmer malgré tout. Lucie ressemblait à une poupée, tant son corps menu semblait minuscule entre ceux des malabars qui la pistonnaient. Elle gémissait, elle criait, mais ses assaillants avaient compris qu’elle n’allait pas tarder à jouir, et cette perspective les galvanisait. Un peu trop peut-être, car celui qui la baisait n’a pu se contrôler, et il a éjaculé, avant qu’un autre homme le remplace instantanément. LUCIE Je ne jouais plus la comédie de la jeune fille effarouchée. C’était trop bon. Si je me démenais maintenant, c’était pour exciter ces mecs et exacerber mon plaisir, et non pour tenter de me dégager. Je sentais l’énorme gland distendre les parois de mon fourreau inondé de mouille, dans un clapotis révélateur qui mettait les voyeurs en joie. Je poussais des cris rauques, emportée par ce coït sauvage, et l’homme qui me possédait a joui soudain. J’ai senti un torrent de sperme inonder ma chatte. Il s’est retiré aussitôt, en continuant à arroser mon ventre et mes cuisses d’un foutre épais. Un autre type, le pantalon baissé s’est rué sur moi, ...
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