La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°822)
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... certaine excitation montait en elle. Elle hésita une dernière fois, mais le temps pressa, l'homme lui avait bien précisé d'être à l'heure à ce rendez-vous, elle ne voudrait pas le faire attendre trop longtemps. Ça a toujours été son problème de prendre des décisions, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire au moment de choisir, l'hésitation prenant toujours le dessus. Mais cette fois-ci elle ne voulait pas reculer, elle voulait aller au bout … Après avoir vérifié que personne ne se trouve dans les alentours et portée par une douce chaleur provenant de son intimité, elle se laissa emportée par son excitation grandissante. Elle fut surprise de savoir à quel point cela l'excitait de s'imaginer nue, agenouillée ainsi à la merci de n'importe qui, dans cette chambre. A moitié honteuse mais gagnée par son excitation, elle poussa cette porte et entra pour découvrir un immense hall d’entrée. Personne… aucune présence… Au centre, au plafond décoré de nombreuses rosaces de peintures de la Renaissance, un volumineux lustre de cristal, qu’on aurait cru tout droit sorti des contes de mille et une nuit. Au sol des carreaux, comme elle en n’avait jamais vu d’environ 1,50 mètrex1,50 mètre, oui des carreaux luxueux, immenses qui brillaient de tout leur éclat. Aux murs, des tapisseries royales de scènes de chasses avec ci-et-là des grands tableaux dignes de ceux du Louvre … Impressionnée, fanny avança jusqu’au fond et trouva sans difficulté l’écriteau lui indiquant la direction de sa ...
... chambre. Une fois dans le long couloir tout capitonné de velours et de soies aux multiples couleurs chaudes, elle arriva devant la porte de sa chambre. Toujours personne, pas âme qui vive. Et c’est avec une certaine fébrilité, qu’elle entra et referma de suite la porte derrière elle. Personne encore, elle crut un instant le château désert mais fanny pensa que c’était cette petite mise en scène du Marquis qui donnait ce sentiment d’aucune autre présence. Une chambre surchauffée à l’évidence et d’un luxe incomparable qui ne dépareillait en rien à ce qu’elle avait déjà vu dans le hall et le couloir. Alors un peu rassurée, elle commença à se dévêtir. Elle enleva rapidement sa robe, en vérifiant constamment si quelqu'un s'approchait d'elle; quelqu’un qui sortirait de derrière une armoire par exemple. Elle était maintenant en culotte et en soutient gorge. Son excitation ne fit que croître et c'est à moitié tremblante mais aussi humide qu'elle enlèva ses dessous. La voila maintenant entièrement nue, prête à être offerte au premier venu. Elle commença à avoir subitement chaud, ses tétons durcissent d'eux-mêmes, et son intimité s'humidifiait de plus en plus. Puis après s’être bandé ses yeux, elle attendit ainsi agenouillée mains sur la tête. Elle n’eut pas à attendre longtemps car des bruits de pas se fit entendre derrière la porte du couloir avant que celle-ci ne s'ouvre et se referme. L'homme debout et immobile devant elle devait la contempler quelques instants, comme ça, regardant cette ...