Annabelle progresse 9
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... précision. Tu ne cherches pas à savoir d'avantage et on finit de se préparer. Je te dis seulement de t'habiller sexy sans rien dessous comme d'habitude, mais je ne te mettrais rien dans le cul contrairement à la semaine écoulée. Je suis dans l'entrée lorsque tu apparais, vêtue d'une robe hyper légère, d'un bleu clair qu'un contre-jour transperce gaillardement. Ce qui fait qu'on devine aisément tes formes à travers le tissu. Il suffit d'être du bon côté du soleil. De plus, le décolleté laisse largement voir que tu n'as pas de soutien-gorge et on devine le bout de tes tétons sous la proéminence du tissu. Je siffle d'admiration et t'assure qu'ainsi tu es tout à fait sexy, comme je le souhaitais. Nous montons en voiture et je me dirige vers le centre ville. Il fait vraiment très beau et on commence à ressentir la chaleur. Cet après-midi ce sera sûrement étouffant. Dans les rues animées, les gens se baladent légèrement vêtus, surtout les femmes. On aperçoit des bouts de cuisses, des épaules largement dénudées, des poitrines offertes, bref, l'ambiance est à l'érotisme. Je trouve une place au parking du marché sans trop tourner et c'est bras dessus, bras dessous qu'on se met à déambuler dans les allées bordées d'étals des marchands itinérants. Ta robe est tellement légère et courte que lorsque je te tiens par la taille, ça la fait remonter et on devine le bas de tes fesses, du moins je le suppose si j'en crois les regards des hommes qui se retournent sur toi. Toi tu es gaie, ...
... frivole, heureuse de vivre cet instant au soleil, sans te soucier si on regarde ton cul. On n'achète rien, mais parfois on déguste un bout de melon, une fraise ou autre mangue qu'un éventaire exotique nous propose. En arrivant au bout du marché, je te propose d'aller prendre un verre dans le café qui nous tend les bras, juste devant nous. Tu opines du chef et nous traversons la rue avant de nous engouffrer dans la salle bruyante, malodorante et enfumée. Je te dirige vers une table libre en te tenant le coude, dans le fond de la salle. Autour de nous, les gens, presque tous masculin, parlent haut, rigolent, gesticulent. Il y en a qui commente le match de foot de la veille, à moins que ça soit le prochain qui aura lieu ce soir. D'autres défendent leur point de vue sur le cheval qu'il faut absolument mettre dans la combinaison qui va forcément gagner le tiercé demain après-midi. Lorsque nous avons traversé la salle, personne ne s'est vraiment occupé de nous, à peine quelques regards furtifs sur ta silhouette. Seul, le patron nous avait vu nous installer et rapidement, il est venu prendre notre commande. Une fois nos deux verres sur la table, je te fais signe de te pencher vers moi afin de pouvoir discrètement te dire quelque chose. Alors, à ton oreille, je te dis que c'est maintenant que tu dois t'acquitter de ta punition. Tu as un recul instantané à ces mots et tu me regardes avec des yeux ronds interrogatifs. Tu reprends la position et je continue. Ne discutes pas, te dis-je, c'est ...