1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 596)


    Datte: 14/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sa jupe qu’elle venait de jeter. Son fessier écraser par son poids s’étalait sur cette surface vitrée. Une autre femme était venue la rejoindre, elle aussi était nue, elle aussi s’assit sur le sol verré juste derrière celle qui était déjà installée. Elles entreprirent de se caresser toutes les deux, là, sous le regard de soumis Endymion MDE, deux mètres cinquante en dessous. Les doigts de l’une glissaient entre les lèvres intimes de l’autre et s’introduisaient lentement dans ce vagin offert et tenu largement écarté. Très vite des flots de cyprine venaient se répandre sur cette épaisse vitre gênant un peu la vision de soumis Endymion MDE. Les deux femmes s’étaient allongées, l’une à côté de l’autre, l’une sur le ventre, l’autre sur le dos, elles se caressaient langoureusement, leur langue s’entrecroisait, un chien-mâle s’était approché, tenu en laisse par l’une d’elle, son nez disparaissait entre les lobes fessiers de la plus jeune, celle couchée sur le ventre. Sa langue tendue cherchait désespérément cette petite chatte trempée, elle voulait se loger dans cette fente chaude ventousée sur la paroi vitrée … Les deux femmes avaient joui et près d’elles, le chien-mâle soumis avait avec sa langue nettoyait les traces de leur jouissance, le spectacle saisissant et excitant était terminé. Soumis Endymion MDE décida alors de se coucher, recroquevillé sur lui-même. Il laissa son esprit divagué…. Comprenait-il ce que l’on attendait de lui désormais ? Sans doute pas ! Où tout au moins ...
    ... pas encore, peut-être même refusait-il de l’admettre. Ce n’est que lorsqu’il sentit qu’il ne pourrait plus retenir et contenir ses urines très longtemps qu’il commença à comprendre. On lui imposait une régression, un retour à des modes de pensée et de conduite, ne correspondant ni à son âge, ni à sa maturité psychique, peut-être même voulait-on un affaiblissement de ses facultés mentales pour mieux le modeler et le former à la stricte obéissance. Et tout cela l’excitait grandement, aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est cet état de servilité totale qui lui procurait une excitation mentale rarement égalée. Pour lui, c’était un épanouissement absolu d’être, de devenir un simple objet sexuel, un pantin, un jouet… de n’être plus rien, de ne plus penser, de ne plus rien décider, juste obéir avec ce sublime lâcher prise total... Il sentit sa couche culotte se remplir, il sentit ce liquide chaud s’imprégner dans ces fibres ouatées, il venait de se pisser dessus. Il comprit qu’il devenait totalement dépendant, tant physiquement que psychologiquement et ses impressions, à bien y réfléchir, lui permettait de s’épanouir un peu plus encore dans sa condition d’esclave appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans. Sa queue jusqu’ici engourdie cherchait désespérément à s’épanouir. Le repas était servi ici d’une drôle de manière ! A un moment donné, une sirène ahurissante avait retenti, brisant le sinistre silence, dans le couloir de cette « slaverie ». Elle annonçait aux chiens soumis ...
«1...3456»