1. Erika


    Datte: 13/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Erika n’était pas une adolescente comme les autres. Ce n’était pas qu’elle était laide ou stupide, loin de là ! D’une taille moyenne, une silhouette élancée, de petits seins haut-perchés, de longs cheveux noirs encadrant un visage mignon aux yeux bleus, elle faisait parfois se retourner certains garçons. Mais Erika était une fille très timide. Transparente en fait. Elle n’avait pas d’amis, ne parlait quasiment à personne, et personne ne lui parlait. Elle aurait pourtant voulu essayer, mais n’y arrivait pas : communiquer avec les autres était au-dessus de ses forces. Alors elle restait seule, toujours.Comme elle habitait un petit village, elle allait et revenait de son école, située en banlieue d’une grande ville anonyme, en bicyclette. Un jour, alors qu’elle revenait de l’école, un bruit attira son attention. Elle était à mi-chemin entre son école et son village. Le chemin était désert, sur sa gauche il y avait la forêt, et sur sa droite un long mur, délabré, qui tournait à angle droit à une centaine de mètres devant elle. C’est de là que venait le bruit. Une sorte de petit jappement. Mue par la curiosité, Erika s’arrêta, posa sa bicyclette contre un arbre, et alla voir. Elle longea doucement le mur, le long de la route, essayant de faire le moins de bruit possible. Arrivé à l’angle droit, elle inspira une bonne fois et passa la tête. Elle ne vit rien d’anormal. Le mur continuait sur environ 500 mètres, puis retournait à angle droit, parallèlement à celui qu’Erika avait ...
    ... longé. Ce devait être un mur protégeant un domaine, ou une maison. Il y avait un passage herbeux qui séparait ce mur d’un petit bois, et au loin Erika voyait des champs, visiblement laissé à l’abandon.Erika allait retourner à sa bicyclette, lorsqu’elle entendit encore le faible bruit. Elle s’engagea alors dans le petit passage herbeux. Elle ne vit d’abord rien, puis quelque chose bougea, devant elle, dans l’herbe. Une petite boule de poil qui émettait ces petits jappements. Elle s’approcha plus près. La boule de poil couina doucement. Erika s’aperçut que c’était un chiot ! Elle tendit la main, lui caressa doucement la tête, le corps. Elle se rendit compte qu’il mourrait de faim. Elle retourna à sa bicyclette, et alla chercher son petit berlingot de lait qu’elle n’avait pas bu, comme d’habitude (c’était une manie de sa mère : mettre un berlingot de lait avec son casse-croûte ! Comme si elle était encore une fillette qui avait besoin de lait !). Elle coupa avec ses ciseaux le haut du carton et l’approcha du chiot, qui commença à le laper avec gourmandise. Lorsqu’il eut tout lapé, il lécha avec reconnaissance la main d’Erika, qui frémit tant du contact râpeux de la langue sur sa main que de la reconnaissance du chiot. Erika savait qu’elle ne pouvait emporter le chiot chez elle, car son père était allergique à presque tous les animaux. Elle avait déjà voulu avoir un chien, mais ça avait été impossible. Elle confectionna donc un abri de fortune pour le chien, avec un carton qu’elle ...
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