1. Décalage horaire


    Datte: 15/03/2018, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu,

    ... aucun effet psychotrope à proprement parler. Par contre, il permet de moduler ses réactions à la demande et, par exemple et c’est pour cela que nous l’utilisions sur les champs de bataille, pour cacher la peur qui nous étreignait. Dans une moindre mesure, elle permettait même de pondérer sa douleur. — Il m’en reste un peu, si cela vous dit…— Et pour quoi faire ?— Je vous l’ai dit : si Maud ne chouine pas régulièrement, vous aurez des problèmes. De même, si elle n’a pas de traces de coups, on va vous poser des questions. L’idée est lumineuse. Avec le DHBP, elle va pouvoir pleurer à la demande et faire mine de subir les pires affronts sans s’en soucier réellement. En venant ici, j’ai repéré quelques guetteurs… Les guetteurs seraient ces types chargés de surveiller que tout homme « s’occupe » bien de sa Poupée. Et quand on dit « seraient », c’est qu’ils n’ont pas d’existence officielle, et personne ne peut vraiment prétendre en avoir vus. Mais les légendes sont souvent basées sur des faits réels. Et cela m’étonnerait qu’ils soient partis. — Ah ? Et que me proposez-vous ?— Un cachet de DHBP à votre amie, et dans cinq minutes, vous sortez, vous lui collez quelques baffes et vous faites comme si vous la violez sur ma pelouse. Ça calmera tout le monde pour un moment. « Ça calmera tout le monde ? Mais que veut-il dire par là ? » En attendant et sans me laisser le temps de parler, il se tourne vers Maud. — Quant à vous, Mademoiselle, je vous rappelle qu’il est de bon ton de ...
    ... pleurer et de vous débattre. Essayez de ne pas trop montrer que vous aimez faire l’amour avec Jonas… Maintenant, filez, sans quoi tout cela paraîtra suspect ! Quelques instants plus tard, nous sommes sur le palier de Wilheim, à l’abri des regards. — Mais comment a-t-il pu savoir tout cela ? J’ai l’impression qu’il lisait dans ma tête…— C’est parfois le cas, répond-je distraitement. Les ondes de ces saloperies de C6 avaient quelquefois des effets surprenants. Bon, on y va ? J’attrape alors de bras de Maud pour le lui remonter dans le dos. Pliée en deux, elle ne peut que m’accompagner dehors… Quelques gifles plus tard, elle se retrouve allongée sur le dos, les jambes écartées et complètement à ma merci. Tout en sanglotant, les yeux pleins de larmes, elle se débat, crie, supplie, mais rien n’y fait… En fait, tout cela n’est qu’une mise en scène rapidement convenue lorsque nous étions encore à l’intérieur. Quoique aussi spectaculaires que sonores, Maud ne les a pratiquement pas senties… Quant à ses pleurs, eux aussi sont totalement bidon… Merci au DHBP ! Tout en lui maintenant les mains au-dessus de la tête, je glisse un doigt dans la fourche de ses cuisses. Sans surprise, j’y trouve une caverne totalement détrempée dans laquelle je m’empresse d’y ajouter un second et, sans douceur, je me mets à la pistonner dans un florilège de bruits mouillés. Pour Maud, la situation est délicate : elle est censée être en train de se faire violer, mais je sais très bien qu’elle apprécie le petit ...
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