Décalage horaire
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
profélève,
grossexe,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
... que tout cela cesse. Machinalement, je m’essuie le front, couvert de sueur. Je grimace : je viens de poser mes doigts sur une longue estafilade due aux ongles de Maud. D’ailleurs, le sang se mêle à la sueur qui tombe en grosses gouttes sur son cul… Tandis que ma colère redouble, ses divagations me reviennent à l’esprit.« Qu’est-ce qu’elle a dit, tout à l’heure ? Qu’elle voulait être humiliée, frappée, considérée comme une pute ? Eh bien, elle va être servie ! » Depuis un petit moment, sa petite porte me fait de l’œil, si j’ose dire. Complètement détrempée de mouille, sa rosette sonne comme une délicieuse invitation… Alors, sans dire un mot, je sors précipitamment ma queue de son sexe pour l’enfoncer d’un seul trait tout au fond de ses reins. Cette fois, elle accueille cette intromission avec un hurlement de bête sauvage.« Ranafout’, comme on disait à une époque… » Au contraire, chaque goutte de mon sang qui tombe sur ses reins me donne envie d’aller encore un peu plus profond. Après avoir gueulé autant qu’elle le pouvait, Maud s’est tue, subitement. Elle ne se débat plus, se contentant tout au contraire d’accompagner chaque aller-retour de ma queue dans son fondement d’un mouvement de bassin qui ne laisse pas de doute : elle apprécie le traitement. D’ailleurs, de sa main libre – puisque je tiens toujours son autre bras replié dans son dos – ne voilà-t-il pas qu’elle fourrage entre ses lèvres, à la recherche de son clitoris ? L’éventualité de l’empêcher de se branler, et ...
... donc probablement de jouir, me traverse l’esprit. « Les femmes doivent être punies ! » : c’est ce que l’on me rabâche en boucle quasiment depuis que je suis revenu d’entre les morts… Quelquefois, l’impensable peut être la norme. Seulement, pour moi, le point de non-retour vient d’être franchi. Et puis, au besoin, la laisser se branler, cela me fera une magnifique excuse pour la traiter de salope si besoin est… Le temps de me retirer précipitamment de son fondement, j’expédie une série impressionnante de giclées de foutre au beau milieu de son dos. Maud, sans doute pour faire bonne mesure, en profite quelques instants plus tard pour s’expédier au septième ciel dans un cri assez délirant. --oooOooo-- Dix minutes plus tard, enfin calmée, Maud est en larmes. — Je te demande pardon pour tout à l’heure… Tu devrais me jeter en place publique pour ce que j’ai fait. Le coup de la place publique, c’est l’équivalent moderne du pilori du moyen-âge. Les Poupées qui ont un comportement fautif – ou dont le maître a simplement envie de se débarrasser – y sont exposées comme du bétail. Là, tout un chacun est libre de leur faire subir les pires outrages ou, pourquoi pas, de les emmener chez lui pour en disposer comme bon leur semble. Plutôt que la sommer de s’expliquer sur son comportement, je décide d’entrer dans son jeu. — Non, j’ai besoin de toi pour autre chose. Puisque tu veux que je te considère comme une salope, cela tombe bien : c’est ce que tu va être. Et tu auras intérêt à être à la ...