Baise au bureau
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
grosseins,
groscul,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Oral
sm,
gifle,
Je t’attends ; mon cœur bat. On a chatté et discuté de tout ce qu’on se ferait : la distance et l’anonymat de l’écriture nous ont permis de nous lâcher et de laisser libre cours à nos fantasmes les plushardcore et les plus inavouables. Je me rends compte à quel point tu es salope et tu aimes le sexe sauvage, sans limite, vrai, animal. Cela m’excite au plus haut point, cette femelle assumée, libre, libre d’aimer, libre de jouir, libre de faire jouir. Tellement assumée qu’elle peut se permettre dans un extrémisme féministe total de jouer sans hésiter le rôle de la soumise. Selon ses règles, selon son envie. Tu as compris que c’est toi qui as le pouvoir. C’est toi qui décides, et ce pouvoir est d’autant plus important lorsque tu joues la soumise. Une inversion des rôles, de ce que le politiquement correct accepte. Ce jusqu’au-boutisme dans le jeu sexuel, cette assurance que tu as dans tes attributs de séduction, cette connaissance de mon corps, de mes fantasmes, me rendent dingue. Je t’attends. J’essaie de m’occuper en lisant des mails ou en surfant, distrait, sur FBK. Mais ce qui m’occupe tous les neurones et toutes les cellules de mon corps, c’est ton corps, ton regard, ta bouche, tes seins si beaux et si fermes, ton cul devant lequel j’ai envie de m’agenouiller et prier les saints de la cambrure qui t’ont faite si belle et si attirante, ta chatte et son goût inimitable, étroite et accueillante, chaude et humide, splendide réceptacle de mon pénis dressé, gorgé de désir et ...
... prêt à jouir sauvagement en toi. Je t’attends. Mon envie et mon désir sont sauvages, animaux ; je suis un sexe en érection, des mains folles à l’idée de te toucher et te caresser, une bouche qui languit de te mordre, sucer, lécher, embrasser. Mon corps t’attend et a pris le pouvoir sur mon cerveau, mes fantasmes, mes envies. Je suis un animal en rut, et mon érection qui précède ta venue en devient douloureuse. Tu sonnes ; mon cœur bat la chamade. Je me lève pour t’ouvrir la porte. Les quelques pas qui me séparent de la porte d’entrée me paraissent une éternité ; ce bureau vide et silencieux m’excite encore plus. Je t’ouvre. Tu es là, belle, souriante, aguicheuse, un peu effrayée, mais submergée de désir pour moi et pour mon corps ; mon regard de vicieux t’excite encore plus. Tu es comme à ton habitude habillée extrêmement sexy : ton petit haut a du mal à contenir ta magnifique poitrine, tu portes une jupe serrée qui étouffe ton gros cul qui ne demande qu’à être libéré. Je vois ton regard se poser sur mon pantalon gonflé par mon érection, et cette frayeur mêlée de désir qui passe dans tes yeux de biche mis en valeur par ton maquillage. Je ferme la porte et te saisis pour t’embrasser à pleine bouche. Nos langues se mêlent, nos salives se mélangent. Je descends dans ton cou pour le lécher, l’embrasser, te humer, te sentir, te respirer. Ton parfum m’étourdit. Je saisis ton gros cul et le malaxe. Tes soupirs se font plus bruyants, tu halètes. Ta poitrine collée contre mon torse va ...