1. Belle fille(s) (8)


    Datte: 16/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... épicée. Sa façon d’embrasser est vraiment unique et j’avoue aimer ça tout particulièrement. Il faudra que j’en parle à ma chérie. Quand nous grimpons l’escalier, c’est avec lenteur. Tout d’abord, je l’enlace par derrière pour lui mordiller le cou tout en lui pelotant la poitrine, puis c’est elle qui escalade les marches à quatre pattes pour m’offrir son fessier à gloutonner. Arrivés en haut, Aurélie nous attend dans la chambre. « Et bien vous m’avez l’air bien chaud tous les deux !» Elle désigne le lit à sa sœur qui s’y couche sur le dos, jambes ouvertes. Tous ces préparatifs m’ont donnés une trique d’enfer et en peu de temps, je m’allonge sur ma partenaire pour la pénétrer. Je n’éprouve plus de honte à lui embrasser la bouche ou les seins, ni même lui faire l’amour devant ma chérie, ma complice dans ces moments là. Aurélie m’appuie sur les fesses pour imprimer un rythme, puis après quelques minutes, je sens son doigt enduit de lubrifiant me pénétrer l’anus. Je lui jette un regard, mais elle n’y prête pas attention pour se concentrer à me sodomiser de son majeur tendu. Laetitia a les yeux fermés et soupire de plaisir à chaque mouvement que je fais en elle. Elle ondule son bassin pour bien profiter de mes pénétrations. Je m’allonge totalement sur elle pour lui mordiller de l’épaule à l’oreille. Cette position me permet surtout de mieux sentir les deux doigts que m’enfonce, désormais, Aurélie. Ma chérie sait si bien s’y prendre que je m’interromps souvent pour la laisser me ...
    ... doigter à fond. Elle tourne ses doigts pour m’élargir l’anus, les enfonce et recommence. Tout à coup, elle ressort et me pousse les fesses pour que je reprenne un bon rythme avec sa sœur. Laetitia me glisse à l’oreille, en de multiples soupirs : « Baise moi fort mon amour … Déchire moi la chatte avec ta grosse queue … Oh oui, comme ça ! C’est bon mon salaud ! » Elle est proche de l’orgasme et ses mots grossiers m’excitent au point de faire monter ma sève. Tout à coup, je sens dans ma raie un objet froid. « Mais … Aurélie, qu’est-ce que tu fais ? » Elle me présente un godemiché réaliste que je n’ai pas le temps de détailler, ni de refuser. Elle est déjà repartie à la charge de mon oeillet, avant de dire : « Laisse toi aller mon amour, tu vas aimer, j’en suis sûre ! » Je sens qu’elle ouvre mon anus et ne proteste pas, jusqu’à sentir une douleur. Je tente de me contracter pour repousser l’objet, mais ce dernier a franchi, d’un coup, le passage de mon petit trou. Laetitia continue à onduler du bassin et je reprends avec difficulté mon rythme en elle. Ce qui est en train de me pénétrer sous l’action de ma chérie est vraiment imposant à accueillir. Maintenant, Aurélie fait aller et venir le faux sexe qui va de plus en plus profond en moi. J’accepte tout d’elle ! Même qu’elle me sodomise avec ce machin. Et puis, au final, ce n’est pas si désagréable que ça ! Je m’y habitue et souhaite même chaque pénétration profonde. Et je suis servi quand ma maîtresse se rend compte de mon attente à ...