1. Ciné surprise


    Datte: 16/03/2018, Catégories: fhh, extraoffre, inconnu, grossexe, poilu(e)s, cinéma, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, fdanus,

    ... Qu’est-ce qui me poussait ainsi à désirer voir ma femme caresser la bite d’un autre homme ? A cette seule idée, mon sexe avait pris une vigueur incroyable ! Comme au ralenti, j’ai alors vu la main de ma chérie s’avancer vers la tige de chair tendue. Mon coeur s’est mis à battre très fort quand ses doigts se sont repliés dessus. Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement. — Oh oui, c’est bien, vas-y ! ai-je dit, dans un état second. Super, ma chérie, branle-la bien !— Qu’elle est grosse et dure ! a ajouté ma femme, dans un souffle. Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de mon épouse. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait : sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer. — Oui, vas-y ! continuait à grogner le type. Ah ! C’est trop bon ! Vas-y ! Excitée par nos encouragements, car moi aussi j’avais ajouté de la voix, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation. D’un coup de rein, ...
    ... l’homme a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma femme. Pendant même un bref instant, il les a effleurées. Par moments, sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria : — Qu’elle est grosse ! Qu’elle est bonne ! Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma femme, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l’acier. Le spectacle de ma femme agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitaient au plus au point. À un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda : — Je peux la sucer ?— Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le !— Oui, suce-moi, a renchéri le bonhomme. D’ailleurs, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre les lèvres humides de mon épouse. Le coeur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chérie ! Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa femme, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair! Plus rien n’existait ...
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