La naufragée
Datte: 18/03/2018,
Catégories:
fh,
plage,
Oral
pénétratio,
... fois, je lui enlève avec ma main un peu de chair blanche sur le coin de sa bouche. — Je mange mal, hein ?— Mais non…— Finalement, je me sens libre et je fais ce que je veux ! me dit-elle en riant. Enfin, elle me confie son histoire : la dispute avec son dernier boy-friend car elle a découvert qu’il couchait avec la skipper ; sa décision de quitter immédiatement le bateau ; son contrat avec la major trop restrictif ; ses ennuis avec la presse qui ne la laisse jamais libre. Elle a averti son agent qu’elle disparaissait pour quelques jours, et son ex boy-friend lui a promis de garder le silence. Je lui propose d’aller dans un bar écouter de la musique, mais elle préfère rentrer car elle a peur qu’on la reconnaisse. De retour à la villa, elle disparaît dans sa chambre après m’avoir remercié avec un petit baiser sur la joue. — Comme les Français : merci et bonne nuit, Dipardiou.— Comment vous m’avez appelé ?— Dipardiou, l’acteur français : vous parlez comme lui, votre accent n’est pas possible !— Ah, Depardieu… Chacun ses goûts ; je préfère que vous m’appeliez Julien. Bonne nuit, Esther. —ooOoo— Le lendemain matin en descendant, je la retrouve debout devant la fenêtre de la terrasse, son mug de café à la main. Elle ne m’a pas entendu et je l’observe un moment. Elle ne porte qu’une tunique en coton qui me semble complètement transparente, à contre-jour dans la lumière du matin. Ses fesses, ses jambes, tout est parfait chez elle. — Bien dormi ?— Hi, pas mal, mais j’ai du mal à ...
... m’habituer au bruit avec tous ces animaux dans la nuit.— Ce sont surtout les singes ; il y en a plein autour de nous. Je travaille encore ce matin. Si vous voulez, vous pouvez faire de la planche à voile.— Non, je ne sais pas !— À mon retour, je vous apprendrai. J’ai une planche longue et stable ; dans le lagon, on a pied presque partout et le vent est léger aujourd’hui.— OK. Pourquoi pas ? —ooOoo— Esther essaie pour la énième fois de relever la voile, mais une fois de plus elle tombe à la renverse dans l’eau transparente. Debout dans l’eau, j’essaie de lui donner des conseils ; mais j’attends mon heure car j’ai une idée derrière la tête ! — Fuck, fuck, fuck ! Bullshit !— On ne s’énerve pas…— Stop, Julien ; j’en ai ras-le-bol : je ne suis pas douée pour ce sport.— Attendez, Esther, vous allez voir ! Venez sur la planche, installez-vous entre moi et la voile, mettez vos mains sur le wishbone vous aussi. Voilà ; regardez comme on avance bien, et le vent commence à forcir un peu. J’ai déjà expérimenté cette position extrêmement troublante, car ma partenaire doit souvent se coller à moi et nous avons tous les deux nos mains occupées à tenir la voile. Je sens régulièrement le corps d’Esther venir cogner contre mon bassin. — C’est merveilleux… Nous volons avec le vent ! me dit-elle avec sa voix nasillarde et un peu rauque.— Alors, Esther, vous voyez : c’est super, comme sensation. Je vous l’avais dit. Je commence à m’exciter car Esther s’appuie de plus en plus contre moi et je ne veux ...