1. David, un mari chanceux diront certain (1)


    Datte: 19/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    David, un mari chanceux diront certain. Je me réveil d’un coup. Ai-je rêvé ou non? Mon regard se pose autour de moi. Non c’est n’est pas un rêve. Je suis bien dans mon placard sous les escaliers. Mais contrairement à Harry Potter, je sais que nulle lettre pour Poudlard ne viendra me délivrer de mon antre. Comment ai-je pu en arriver là? Moi, David, polytechnicien et travaillant dans un cabinet d’investissement boursier. La douleur sur mes fesses me rappelle la vie que j’ai vécue depuis que j’ai rencontré Sophie. Maîtresse Sophie comme je l’appelle depuis notre mariage. Quand j’ai rencontré Sophie, je travaillais alors dans un cabinet de courtage boursier. J’avais un bon poste et bien payé. Par contre côté sentimental, ce n’était pas la joie. La plupart de mes conquêtes s’était soldée par des échecs bien avant de monter au lit. J’ai rencontré Sophie lors d’une soirée bien arrosée, organisée par une équipe de trader après avoir tous reçu une belle prime. Du groupe on peut dire que j’étais le plus discret ou le moins fêtard en tout cas je dénotais dans ce bar à la mode de Paris. C’est Sophie qui m’a abordée. J’étais surpris qu’une femme prenne ainsi l’initiative. Elle était grande et brune. Pas un top modèle: elle avait des formes. Une assez forte poitrine mais un beau cul bien rebondi. Elle avait tout de même le goût de s’habiller d’une façon assez sexy pour la soirée: une simple robe courte noire qui laissait admirer les formes de sa poitrine. Elle était également chaussée ...
    ... de jolies sandales à talons assorties à sa robe. Après une courte conversation sur nos vies respectives et quelques verres, elle proposa de se rendre chez moi car elle trouvait l’atmosphère de ce lieu étouffant.Je la trouvais très sûre d’elle et très directive. Mais comment refuser une si belle occasion. Après lui avoir fait visiter mon appartement nous nous sommes retrouvé sur le canapé, un verre à la main. Après quelques minutes dans un état d’excitation intense, je voulu la caresser en posant une main sur sa cuisse. Ma bouche se colla sur la sienne et je l’embrassais maladroitement. Devant mon état et façon de faire, j’étais bien obligé de lui avouer mon inexpérience en matière de femme et de sexe. Elle sourit. -Tu sais , je m’en serais doutée en te voyant. Mais rassure-toi, on va commencer doucement. Tu va commencer par te mettre à mes pieds et tu lesembrasseras. Aussitôt dit, je me mis à ses pieds et déposa un baiser sur chacun. -Maintenant, tu vas me déchausser et tu lécheras mes orteils. J’ai tellement marché aujourd’hui, je suis sûre que cela va me détendre. Je retirais alors sa chaussure droite pour découvrir un joli pied manucuré et vernis de rouge. Une odeur de transpiration m’envahit les narines mais Sophie avait demandé d’une façon ne me permettant pas d’hésiter. Je passais ma langue sur la plante de son pied puis suçait chaque orteil du mieux que je pouvais. Je me sentais ainsi si inférieur à elle. Elle s’était intéressée à moi qui étais si minable et elle qui ...
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