1. Quand j'ai le blues...


    Datte: 19/03/2018, Catégories: Anal Sexe Interracial,

    ... m’embrassant. Éric, son ami, caresse ma nuque. Lucas détache ses lèvres des miennes et se recule. Il caresse maintenant mes cuisses et soulève ma robe. Il a bientôt la confirmation de ce qu’il avait cru apercevoir, dès tout-à-l’heure à la station. "Qu’est-ce que je t’avais dit, Mademoiselle n’aime pas les culottes !". Éric semble subjugué. " Elle a une superbe touffe, en plus !"A partir de cet instant les choses vont vite. Ils s’emploient à me déshabiller, Lucas glisse à mes pieds, ouvrent mes jambes et vient me lécher, constatant immédiatement combien je suis excitée : "Tu es trempée, ma cochonne !" Il écarte mes lèvres, débusque mon clitoris, qui se dresse, énorme et gonflé. Éric a enlevé son pantalon et me présente, à genoux sur le canapé un sexe en parfaite érection. Je le saisis, je le branle, je le porte à ma bouche. Je dépose une bulle de salive sur son gland, je l’enroule dans ma langue, je l’avale un peu plus, ma main descends vers ses couilles.Lucas est maintenant entre mes fesses, sa langue s’employant à détendre mon anus, encore un peu crispé. Je suce avidement la queue de son copain, mais celui-ci, soudain moins timide, échappe à mes lèvres. Je n’ai plus l’initiative, il me retourne, passe un bras sous mon ventre, et, sans plus d’attention, me prend en levrette. Lucas s’est redressé à son tour, il a enlevé son pantalon, et vient me présenter sa queue, grosse, tendue, qu’il impose à ma bouche. " Je me souvenais bien que tu venais draguer à la station, tu es ...
    ... toujours aussi chaude, toi !"Le bassin d’Éric frappe mes fesses, chaque fois qu’il est au fond de moi, et me précipite contre le ventre de Lucas, m’obligeant à l’avaler plus loin. Pour être sûr que je le fais bien, il a plaqué sa main sur ma nuque, me poussant sur la queue de son ami.Ils se parlent entre eux, comme si je n’étais plus que leur chose. "Eric, on va la prendre tous les deux, fais-la venir sur toi, je viendrais derrière" Les événements s’enchaînent ainsi. Je suis couchée sur le ventre d’Éric, qui a repris possession de ma chatte. Lucas mouille mon anus de ses doigts enduits de salive. Il force le passage, glisse trois phalanges. Je le supplie d’aller doucement, mais j’ai très envie de lui, là… Il se guide entre mes fesses, je sens son gland pousser sur mon sphincter. Il s’enfonce lentement, s’arrête puis repart et ne stoppe que lorsqu’il est entièrement en moi. Puis ils accordent leur rythme, et me soumettent à leur coït qui devient vigoureux, ne me ménage absolument pas. Le psyché devant lequel j’ôtais tout-à-l’heure ma culotte est heureusement placé. Il me suffit de tourner la tête, pour nous voir : les fesses de Lucas qui se contractent spasmodiquement, les cuisses d’Éric, qui rythment la cadence, leurs couilles puis leurs queues, enfoncées en moi, dans les deux orifices justement prévus par la nature. C’est tellement excitant de me voir ainsi prise que je jouis, en les suppliant de ne pas s’arrêter. Lucas m’insulte : "Tu es une salope, Olivia, une très grande salope ...