Drague dans le métro (3)
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Le temps a passé, il fait maintenant pratiquement nuit. Pierre range les godes. –Tu reste, j’ai encore envie de ton cul. –Non, je suis fatigué, je crois que je ferais mieux de rentrer chez moi. –Ok, je comprends, on se revoit quand ? –Je ne peux pas avant mercredi. –Ok, moi aussi je suis un peu chargé. J’enfile ma chemisette, la boutonne et prends mon short. –Dans l’ascenseur. Je regarde Pierre qui a un petit sourire malicieux et je sors sur le palier le cul nu. J’appelle l’ascenseur, attends un petit moment qu’il arrive. Pierre me regarde sur le pas de sa porte. L’ascenseur arrive, j’entre et referme la porte. Pierre me fait un petit signe de la main. –Pas avant le premier, promis ? –Promis. L’ascenseur descend, et, comme demandé par Pierre, j’attends d’arriver au premier pour enfiler mon short. Au rez-de-chaussée, la porte s’ouvre sur un couple qui me salue poliment. C’était juste. Je m’engouffre dans la première rame de métro, direction la maison. Il y a encore un peu de monde, nous sommes vendredi soir. Je prends ma correspondance, la rame est pratiquement vide. Je m’assoie sur une banquette, à l’écart, seul. Un homme dans la cinquantaine de type méditerranéen vient s’assoir en face de moi. Il est dans une djellaba fine, les mains dans les poches. Merde, je suis dans cette rame pour cinq stations, je m’étais mis ici pour ne pas être à côté des trois ou quatre personnes au fond de la rame, et pouvoir me caresser un peu. Il me regarde fixement. Je remarque tout de même ...
... que quelque chose bouge. C’est au niveau de sa taille, le tissu bouge. Je réalise tout à coup qu’il se caresse sous sa djellaba. Je remonte mon regard vers ses yeux, il me fixe toujours, mais avec un léger sourire. Je le regarde et glisse une main sous mon short. Nous arrivons à une station. Personne sur le quai et deux personnes descendent. La rame repart, je vois maintenant distinctement que l’homme se masturbe sous sa djellaba. Nous arrivons à une nouvelle station ou les dernières personnes sortent. Nous sommes maintenant seuls dans la rame. L’homme se lève et remonte sa djellaba jusqu’à la taille. Il est nu dessous et bande comme un taureau. Il vient s’assoir à côté de moi et me regarde, m’invitant à l’imiter. Je ne me fais pas prier, je fais glisser mon short jusqu’à mes pieds et l’enlève. Il a une bite comme je les aime, avec le gland proéminent. Elle n’est pas super grosse, mais très attirante. Je me penche sur lui et l’englouti dans ma bouche. Il se cabre un peu, mais se laisse faire. Il sent bon, c’est une personne qui se soigne. Je le pompe avec toute ma technique, mais il doit vouloir autre chose, il me prend la tête et se dégage. Je le regarde, me lève et viens me présenter de dos devant lui. Il pose ses mains sur mes haches et m’attire à lui en me faisant baisser. Je me laisse faire jusqu’à ce que je sente sa bite contre mes fesses. Il me lâche, il veut que ce soit moi qui choisisse. Je décide d’y aller et me laisse descendre sur sa bite. Ce n’est pas l’emprise du ...