La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°868)
Datte: 20/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°867) – Je me mis en quadrupédie, et quittais avec bonheur le manche à balai, mais restais pluguée et les pinces mordantes en place, que je sentais particulièrement lorsque je me déplaçais. Il fallait que j’écarte largement les cuisses pour ne pas que celles placées sur mes lèvres intimes ne se frottent entre elles, me donnant envie de crier à chaque fois, ce qui ne devait pas me donner une démarche très gracieuse. D’ailleurs, le Maître me le fit remarquer, tandis que nous progressions dans différents couloirs, me prévenant que ce serait une des premières choses que j’apprendrai au cours de mes séances de dressage… Nous nous arrêtâmes devant la porte de Sa chambre. Je souriais franchement en reconnaissant cette porte. Lors de ma première visite au Château, j’y avais vécu des moments tellement merveilleux ! - Décidément, Ma chienne, il va falloir que tu apprennes à te contrôler et à rester impassible. Une bonne chienne soumise ne doit pas laisser ses sentiments visibles, ni la douleur paraître, que ce soit des expressions faciales, sonores, tout doit être contrôlé, par Moi évidemment. Tu ne peux t’exprimer que lorsque je t’y autorise ! Ton dressage risque d’être long et douloureux, mais je saurais faire de toi ce que je veux, pour Mon plaisir ! Il aimait laisser planer des silences, quand il parlait, laissant le temps à Ses paroles d’imprégner Son interlocuteur - Bien maintenant, Ma petite chienne, j’ai besoin de me détendre ...
... un peu, voyons ce que valent tes mains pour les massages. Tu m’avais écrit que ton mari les appréciait, voyons si c’était avec raison, ou s’il se contente de peu ! Je trouvais Ses propos humiliants mais, évidemment, je ne dis rien. Il s’approcha d’une commode, se dévêtit, et posa Ses vêtements sur le meuble, puis s’allongea sur le ventre sur le lit. D’un claquement de doigts et d’un geste de la main en direction de Son dos, Il me fit comprendre de venir le rejoindre sur le lit. Il me fit placer à cheval au-dessus de Lui. J’étais partagée entre la douleur des pinces qui m’étiraient les chaires et les mordaient cruellement, et l’excitation de sentir le corps musclé nu du Maître entre mes cuisses ! Je sentais Ses muscles, Sa chaleur… Mon bas-ventre continuait à s’échauffer. Sur Son ordre, je posais mes mains sur Lui et commençais, comme j’en avais l’habitude avec mon mari, par le caresser sur toute la surface disponible en démarrant en haut de son dos, passant vers ses aisselles, puis ses reins, jusqu’en haut de ses magnifiques fesses, bref, je suivais toute sa colonne vertébrale passant mes doigts le long de son échine pour voir comment étaient placés Ses muscles, lesquels étaient noués, lesquels auraient le plus besoin d’attention. Après quelques vas et viens, à découvrir Son corps, je débutais le massage à proprement parler. Je m’appliquais de mon mieux, m’occupant de chaque nœud, un par un, et ne le quittant qu’une fois totalement dénoué. Le Châtelain semblait apprécier, il ...