Pudeur indécente / Pudeur débridée
Datte: 20/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
fbi,
extracon,
voisins,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
vengeance,
Oral
Partouze / Groupe
exercice,
... mes bras, pose sa tête contre mon torse et embrasse ce qu’elle trouve de peau nue, avant de murmurer qu’elle aimerait éviter la tendresse. Certes, un nouveau rôle la tente, mais juste pour le plaisir du corps. Elle n’attend pas vraiment ma réponse avant de me prendre par la main, pour m’emmener dans le bureau du boss. Je n’ose pas imaginer ce qui pourrait se passer, si… Ma passivité ne l’empêche pas de pousser la porte, et d’avancer dans la pièce en me tournant le dos. Arrivée face au bureau directorial, elle jette au sol tout ce qui se trouve à portée de son revers de main. Puis elle commence à se déshabiller, en veillant à ne me laisser percevoir que sa silhouette, en contre-jour. — Ne le prends pas mal, mais je suis très pudique, en fait. Malgré mon envie de toi, me montrer nue est au-dessus de mes forces.— Tu veux que je baisse la lumière ?— Cela n’y changera pas grand-chose. C’est surtout que je n’aime pas mes seins. Donc, tu n’en verras rien de plus que ce que je t’ai laissé mater en début de soirée. Tu crois que tu pourras t’en passer ? demande-t-elle ingénument en laissant tomber le fin rempart de dentelle qui les soutenait. Je renonce à répondre. — L’autre chose, c’est que je n’aime pas mes fesses non plus. Tu n’en n’auras donc que le minimum syndical. Ça te pose un problème ? murmure-t-elle en enlevant sa jupe.— Si c’est ça le minimum syndical, j’adhère immédiatement au parti. Je signe où ? dis-je d’un ton aussi détaché que possible, malgré l’excitation que ce ...
... trop pudique strip-tease fait monter en moi. Elle se retourne enfin, les mains sur les seins, pour mieux cacher ses trésors de féminité. Cette retenue lui donne paradoxalement un charme fou. Je me retiens de me jeter sur elle. — L’emballage est superbe. Mais que me reste-t-il comme cadeau, dans cette aventure ?— Ben, mon ventre par exemple. Il est pas mal, mon ventre, non ? Pas assez bandant ? D’ailleurs, ce n’est pas une aventure. Juste un plan cul. Elle s’allonge alors sur le bureau, lascivement, les seins toujours cachés sous ses mains. Est-elle sincère lorsqu’elle prétend être si pudique ? Le regard qu’elle me jette en guise d’invitation à m’approcher me rassure. Feinte ou non, son apparente pudeur n’inhibe en rien mon désir d’elle. Je commence par parcourir son corps du regard, puis du bout des doigts. Elle se laisse découvrir, s’offre à moi, à sa manière. Je m’enhardis, m’empare d’elle, longuement, à pleines mains. La danse langoureuse qui nous unit me fait oublier le risque que nous prenons à nous ébattre dans ce bureau. Les parfums de son corps sont si variés. De plus en plus têtus, ils révèlent son désir. Imperceptiblement elle écarte ses cuisses. Elle me laisse lui retirer son shorty. Pour finir par exiger mes lèvres et ma langue, juste là… Peut-être devrais-je marchander, exiger qu’elle écarte ses bras en échange d’une première fulgurance ? Elle ne m’en laisse pas le temps. Son corps répond déjà aux premiers frôlements. Son envie de volupté prend le pas sur ses ...