La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°965)
Datte: 20/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ainsi !... Je ne le lui dirai qu’au moment de partir. De toute manière, chez Vous, elle n’aura besoin d’aucune affaire, aucun vêtement. Je vais m’arranger pour que ces papiers soient en règle pour partir. Ceci étant conclu, ils finirent de déguster leur verre en silence, chacun prit dans ses pensées, jusqu’au diner. Zao semblait sereine en faisant son service. Elle avait un aplomb impressionnant. Et de son côté, Wangdak agissait comme s’il n’avait rien à lui reprocher. Elle pensa que finalement Monsieur le Marquis n’avait rien dit à propos de sa mauvaise conduite matinale. Mais elle n’en éprouva pas la moindre reconnaissance, et sous ses airs de soumission, laissait apparaitre un sentiment hautain envers Lui, comme si elle avait réussi à défier le Noble… Pendant le dîner, Monsieur le Marquis informa Wangdak, qu’avec toutes les formalités qu’Il aurait à remplir le lendemain pour que tout puisse partir dès que possible pour la France, Il n’aurait pas besoin de moi et donc s’il le voulait, il pourrait se servir de la petite chienne que j’étais, comme il le voulait, dès Son départ. - Je vais être assez occupée demain après-midi. M’autorisez-Vous à la prêter à une connaissance avec qui j’aimerai entamer une relation d’affaires ? - Mais bien sûr ! Profitez-en ! La seule chose que je demande c’est qu’elle ne subisse rien qui ne la marque trop longtemps. - Je Vous promets qu’il ne lui sera rien fait de trop méchant ! Et je Vous remercie du prêt que Vous voulez bien m’en faire. Le ...
... dîner se termina et Monsieur le Marquis retourna dans Sa chambre. Il m'informa que le lendemain je retournais sous les ordres de son ami Dominant tibétain et que la journée serait un peu spéciale, mais que de toutes manières, je n’avais pas mon mot à dire et je n’avais qu’à obéir, ce qui pour moi était une évidence. - En attendant, viens-là ma chienne, à genoux et ouvre la bouche ! Je m’exécutais avec bonheur, sentant mes nombreuses heures de récompenses à rester à Ses pieds tiraient à leur fin. Arrivée devant Lui, Il me saisit et me maintint la tête de Ses deux mains, et m’enfourna dans la bouche Sa queue bien gonflée. Ce n’était pas moi qui Lui faisait une fellation, c’était Lui qui me baisait la bouche. Je ne servais qu’à Son plaisir, je n’étais que le réceptacle humide, chaud et accueillant pour Sa noble verge qui ne tarda pas éjaculer et ma cavité buccale reçut Son nectar chaud et épais au fond de ma gorge. Je n’avais servi que d’objet, mais c’était mon rôle et je l’assumais pleinement, et avec un immense bonheur de servir de vide-couilles à tout moment. Une fois que le Maître eut soulagé Son érection, Il me caressa la tête tout en douceur : -Nettoie Ma verge, maintenant et ne perd pas une seule goutte de ma semence … C’est avec un bonheur immense que je passais ma langue sur et tout autour du gland violacé de la noble queue et sur toute la longueur de la hampe. Je m’appliquais du mieux possible afin de rendre le sublime sexe du Maître aussi propre que possible. J’avalais ...