1. Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.


    Datte: 20/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... envie folle de faire l'amour. Je l'aide à se déshabiller. Elle me regarde pendant que je fais de même. Je bande déjà. Elle sourit. Je m'allonge sur le canapé. Sa bouche joue avec mon gland. — Viens, viens. J'ai trop envie. Elle monte sur moi, guide ma queue et s'empale dessus. C'est bon. Elle ondule comme toujours. Les yeux fermés, comme dans un rêve. Et si elle pensait…. — Tu l'as chevauché ? Il n'est pas nécessaire de préciser. Elle garde les yeux fermés. Pour rester dans son trip ou peut-être, éviter de croiser mon regard. Pourtant une "oui" à peine plus fort qu'une respiration sort de ses lèvres. — C'était bien ? — Oui. — Tu y penses maintenant. — Oui. D'avant en arrière. De gauche à droite. Sa grotte me masse la bitte. — Regarde-moi. Elle ouvre les yeux. — Coquine. — Pervers. Qu'il est doux cet échange accompagné de sourires. Elle monte et descend. Les pendentifs brillent. Bien vite ils perdent toute raison et se balancent n'importe comment essayant de suivre la cavalière. Le galop est puissant. Marie est en forme. Elle se baise sur mon pieu avec peut être un autre dans un coin de sa mémoire et qui contribue à son plaisir. En tout cas moi c'est le mien. Pourvu qu'elle ne dise pas non. Pourvu qu'elle reçoive ce Franck avec tous les honneurs alors qu'il aura la lourde responsabilité de satisfaire mon fantasme, mais aussi ,que je devine déjà un peu partagé, par ma femme. La furie l'habite. Sa jouissance la libère. Mon foutre participe. C'est une Marie épuisée, en sueur ...
    ... qui tombe sur moi. Je sens les bijoux qui me blessent, mais je ne bouge pas. Au contraire je l'enveloppe de mes bras. C'est une femme satisfaite que je chéri. Je lui susurre à l'oreille : je t'aime, je t'aime. N'oublie jamais cela. Elle se redresse, me fixe, cherchant la perfidie. Mais non, je suis sincère et sans arrière-pensée. Enfin ! Je crois! Après une longue balade en forêt nous mangeons très léger. Depuis ce matin je n'ai plus abordé le sujet. Vers 21 h, Marie va prendre un bain. Youppie ! Je profite de son moment de détente pour sélectionner ce que je veux qu'elle porte. Lorsqu'elle revient nue, coiffée parfaitement, maquillée elle découvre ce que j'ai préparé sur le lit. — Un porte jarretelle ? En cette saison ? Je sais que c'est un peu ridicule. D'abord on ne porte pas de bas en cette période, mais en plus c'est un peu "rétrograde". La mode est plutôt aux collants. Je reconnais qu'il y en a de très beaux. Mais les bas et porte-jarretelle sont chargés d'émotions contradictoires. D'abord l'image de ma jeunesse et de ma mère qui chaque soir s'habillait élégamment, serveuse dans une boite de nuit. C'était notre moment. Sans aucune indécence elle s'habillait devant moi. Il me suffit de fermer les yeux et je la revoie. Tirer sur le haut des bas afin de les accrocher sans plis aux élastiques et cette pince étrange en caoutchouc. Le chemisier, le tailleur deux pièces. Elle était la féminité et l'élégance. Plus tard elle a trouvé un autre travail et j'ai beaucoup regretté ces ...
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