1. Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.


    Datte: 20/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Oui. Exprime la pute que je laboure. Mieux qu'une pute que l'on baise au bord de la route et qui n'est pas si expressive et qu'on sait, simuler chaque mouvement. — Tiens ma cochonne. Prends ça. Ca encore. Voilà. — Oui ! Chéri c'est bon. Continue. Prends-moi. C'est bon, c'est bon. Non seulement la salope se tortille sous mes assauts, mais je sens une main aller caresser son clitoris alors qu'une autre masse un sein pour certainement en tordre le téton. Je me sens d'une vigueur exemplaire, animé d'une envie singulière. Je ne cesse de penser que cette grotte a connu récemment l'ardeur d'une queue plus jeune. Mais la mienne et surtout le mental associé sait se retenir. Et pourtant! Que j'ai envie d'ouvrir les vannes pour me libérer dans cette grotte accueillante. Mais j'attends. Oui, j'attends que Marie vienne. C'est plus long que d'habitude mais je sais pourquoi. Elle a déjà eu son compte de jouissance et celle que je veux, la mienne, doit se préparer plus longuement. — Oui….Oui….Encore…..Chris, encore…..Je viens…Je viens. Que mon prénom est doux à mon oreille. Je sens sa jouissance. Cette respiration digne d'un 100 mètres. De la main qui caresse le clito et qui bat la chamade. J'imagine ce sein martyrisé, le téton tordu signe que cela monte. Et tout le reste. Tout ce que l'on peut décrire. Enfin qu'un homme ne serait décrire. Pourtant moi aussi on m'a possédé. Oui Marie, de nombreuse fois s'est transformée en mâle avec notre double gode ceinture et m'a défoncé le cul. Mais ...
    ... j'imagine que la sensation est différente. Nous ne sommes pas "construis" pareil. Les ohhh… qui montent en fréquence et en puissance sont les cris de jouissance que j'adore. Pendant de longues secondes la nuit résonne de ce bonheur exprimé. Si quelqu'un ne passe pas loin il n'aura aucun doute sur l'origine. Mais le crescendo fait place à des soupirs. La belle redescend sur terre. Elle ne peut ignorer qu'une queue la travaille toujours. Une queue fière de son labeur et qui ne va pas tarder. Marie me connait mieux que moi. Combien de baise depuis notre adolescence ? Il faudra que je compte un jour. — Attends. Attends. Dit la femme levrette. Elle bouge. Elle se dégage de mon pieu. Je me sens bien seul mais c'est une bouche qui remplace la grotte. Une bouche qui me suce alors qu'une main me branle et que l'autre me presse les couilles. — Viens mon Chéri. Viens dans ma bouche. Qui résisterait ? Pas moi. Je me déverse en elle. Marie sait faire penser que ma semence est une crème onctueuse, délicate que toute femme devrait pouvoir déguster. Je referme la porte et nous reprenons nos esprits. Ma femme se love contre moi. Ses fesses sont sur le cuir et déjà je repense aux taches que les amants ont dû laisser. — Merci, mon Amour. Merci. Me dit mon épouse en m'embrassant amoureusement. Je ne détaille pas. Je prends ce merci pour l'amant accordé, mais aussi cette jouissance, pour notre tendresse, pour notre amour. — Je ne veux que ton bonheur. Mais cette phrase me parait bien fade au vue de ...
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