Alentours de Lyon - 1637
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hagé,
religion,
fsoumise,
hdomine,
contrainte,
facial,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
fantastiqu,
... replonger dans cet antre sacré. Ce traitement a pour effet d’amener Marie au bord de l’orgasme. Elle respire difficilement, l’autre moine lui appuyant sur l’arrière du crâne pour enfoncer sa queue le plus profondément possible dans sa gorge. Son plaisir explose lorsqu’elle sent qu’on lui enfonce un doigt dans l’anus. Elle arrive à se dégager de la poigne ferme qui lui tient la tête et laisse échapper un long cri tandis que le plaisir la submerge. Le vieux moine choisit ce moment pour accélérer son mouvement et lui procurer encore plus de sensations. Elle ne peut retenir un cri un peu plus fort. — Chuuuttt… Chutt, vous allez rameuter tout le monde…— Ahhhhh… ahhh… c’est… c’est trop…fort…— Chuuttt… Elle reprend alors en bouche la bite que le moine exhibe toujours devant elle, afin de s’en servir également comme d’un bâillon. Le vieil homme lui pilonne allégrement l’arrière-train, lui provoquant des orgasmes en chaîne. Elle sent glisser ce membre en elle, provoquant des ondées de plaisir. Son amant se met même à lui caresser le clitoris d’une main tout en lui maintenant les hanches de l’autre. Le moine qu’elle suce remet ses mains sur son crâne et s’enfonce dans sa gorge pour décharger de longs jets brûlants de foutre. Elle n’a pas d’autre choix que d’avaler la semence en tentant de garder sa respiration. … Et il lui en donnait du foutre, ce cochon, à croire qu’il n’avait jamais joui et avait tout gardé pour elle depuis son adolescence… Elle doit déglutir à plusieurs reprises. ...
... Sa série d’orgasmes se calme lorsqu’elle sent la pine sortir de sa chatte. Et, quelques instants plus tard, un liquide chaud se pose sur ses reins. Le vieil homme déchargeait sur elle, se frottant la bite entre les globes de ses fesses. Il se répand sur elle, sans dire un seul mot. C’est à ce moment-là que les cloches se mettent à sonner à la volée, provoquant la panique des cinq moines. Ils s’agitent, celui qui était sur le lit se relève d’un bond, pendant que le moine devant Marie retire brutalement son sexe de sa bouche, laissant entendre un ’blop’ étrange. Ils échangent tous un regard avant de se précipiter vers la porte pour se sauver, nus, dans le couloir. Marie n’a pas eu le temps de dire un mot. Quelques secondes plus tard, la porte se rouvre et les cinq moines entrent, rouges comme des pivoines. Ils se sont emparés de leurs bures et se sont rhabillés. Enfin, ils ont essayé, car il leur a fallu quelques minutes pour que chacun retrouve la bure qui était la sienne en entrant dans la chambre. Ils ressortent ensuite en courant, sans dire un mot à Marie. — Les salauds ! Ils me laissent comme ça ! Qu’est-ce que c’est que cette cloche, le repas ? Non, pas à cette heure-ci… Elle se lève pour trouver de quoi se laver. Mais, regardant autour d’elle, elle ne voit qu’un pauvre bout de tissu qui traîne sur la petite table lui faisant face. Elle s’empare du linge à l’aspect douteux pour s’essuyer le corps et la chatte. Elle s’allonge à nouveau et se glisse sous la couverte rêche. ...