Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (10)
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... dans le maniement de sa langue, et tout en ayant les pieds percés d’aiguilles que de jolies mains cruelles faisaient tourner sous sa peau, il savait vriller précisément un clitoris en devinant le bon mouvement, jusqu’à offrir la jouissance, tandis que lui-même, les nerfs transpercés par les fines pointes d’acier inoxydable, atteignait l’acmé de la douleur, ce qui l’encourageait à poursuivre. Alors les deux compagnes échangeaient les rôles, et la partie continuait, en transformant cette fois la verge érigée et les testicules hérissés d’aiguilles en une sorte de cactus mort-vivant, dont l’aspect horrifique inspira les mignonnes gougnottes pour de nouveaux ébats voluptueux. La nuit se déroula ainsi. S’il ne l’était déjà, Markus serait plusieurs fois mort sous la géhenne. À l’aube, une fois détaché, il s’arracha la tête des deux mains pour la donner aux deux femmes qui avaient fait l’honneur d’accepter de le laisser participer à ces jeux si excitants – pourtant, sa maman lui avait souvent dit de ne pas se prendre la tête avec ses désirs sexuels, mais il n’écoutait jamais. Il s’aperçut à cette occasion qu’il n’avait pas besoin de tête et qu’il se débrouillait très bien sans cet accessoire inutile. Claire et Barbara acceptèrent ce cadeau avec joie : dorénavant, il leur suffit de placer la bouche de leur présent entre leurs cuisses pour que la langue vînt leur titiller le clitoris. Elles pouvaient en user aussi souvent et aussi longtemps qu’elles en avaient envie, et ne s’en ...
... privèrent pas. Pendant plusieurs décennies, la tête resta cachée dans un placard, ne sortant qu’aux heures où elle était utilisée comme un jouet de plaisir pour femme. Ce fut leur secret partagé jusqu’à leur mort. Lorsque Claire trépassa, Barbara récupéra l’organe et en abusa tant qu’elle en succomba de plaisir à l’âge de quatre-vingt-quinze ans. Ses descendantes, à leur tour, découvrirent le sortilège par lequel elles connurent d’immenses ivresses de volupté féminine en cachette de leurs maris, qui auraient été quelque peu surpris de découvrir la chose. Cela continua de génération en génération, pendant mille ans. Durant tout ce temps, Markus décapité erra en aveugle, s’offrant de temps en temps à des femmes avides de bizarrerie macabre, se laissant, comme à son habitude, massacrer dans d’horribles tortures. Il était devenu le Fornicateur Sans Tête et sa légende commençait à se répandre à travers les veillées où l’on tremblait délicieusement à l’évocation de ce garçon qui se laissait insatiablement harasser de sévices tout en copulant avec toutes celles qui le désiraient. À l’une qui savait aller particulièrement loin dans ce domaine, il offrit ses génitoires, verge dressée accompagnée des testicules emballés dans les bourses. La belle eut ainsi la possibilité d’enfoncer le phallus arraché du corps dans ses différents orifices, profitant ainsi d’un godemiché dont la matière était de la véritable chair humaine toute frissonnante de désir – il pouvait même éjaculer. À une autre, il ...