La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°776)
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... jusqu’au repas de midi, puis de nouveau je reste seul, désœuvré une grande partie de l’après-midi. Ce n’est qu’en fin d’après-midi que la porte de la chambre s’ouvre. Un homme et une femme entrent et s’approchent de moi. Je ne les connais ni l’un ni l’autre, sans doute sont-ils le médecin et l’infirmière dont le Maître m’a parlé. L’homme petit et râblais, les cheveux frisés, des mains potelées me saisit par le collier et me pousse sur le lit sans ménagement. La femme elle, grande, l’air sévère, une lourde poitrine, des cheveux blonds tombant sur ses épaules, exige immédiatement. - Montre-moi tes couilles, la pute ! Couché sur le dos, je relève les jambes et offre mon intimité - Ecarte-toi plus encore ! Insiste-t-elle très sévèrement. J’obtempère immédiatement. Elle soulève mes burnes. L’homme intervient : - Je vais lui ôter sa cage pour faire ce que nous avons à lui faire. Agnès prépare le matériel, Monsieur le Marquis ne tardera pas. Ma nouille est libérée, mes burnes empoignées et malaxées. Bien que ce traitement soit quelque peu douloureux, je me mets à bander. - Une belle bite ! constate l’infirmière, tout en mettant des gants en latex. Le Médecin fait rouler entre ses doigts, la peau fine de mes bourses. Avec une lampe de poche, il regarde attentivement et par transparence les tissus fibromusculaires. - Bien, dit-il en se redressant, aucun problème, pas de petits vaisseaux à cet endroit précis. Tu le piqueras là ? Piquer ? Ai-je bien entendu. Aucun doute possible, je ...
... vois Madame Agnès préparer des instruments stériles dont un cathéter. Je blêmis et me mords les lèvres. Mes couilles sont lavées, nettoyées, désinfectées et aseptisées soigneusement. - Combien lui injecte-t-on ? Demande Agnès - Commençons par 250 cc, nous verrons ce qu’en dit Monsieur le Marquis. Je n’en mène pas large. Madame Agnès prépare le flacon, le perfuseur et l’aiguille. Elle décapsule le flacon, puis désinfecte la membrane qui va recevoir le perfuseur, qu’elle met en place peu après. D’un geste sûr et rapide elle purge le tuyau en ouvrant la molette afin de chasser les bulles d’air. - Ne bouge pas chien, je pique ! Me dit Madame Agnès. Je n’ai quasiment rien senti… Le geste a été sûr, rapide, professionnel. Mon sac se remplit doucement. Tout au plus, j’ai une impression de fraicheur liée à la température du liquide injecté. Me voilà soulagé et maintenant la situation m’excite de nouveau. Ma queue se tend, mon scrotum se distend… Je suis là, sur ce lit, cuisses écartées, jambes relevées sur ma poitrine, sous le regard attentif des deux professionnels de santé. Au bout d’un quart d’heure, je suis débranché, Monsieur Gabriel me fait me relever. Je me regarde avec cette grosse paire de couilles bien encombrantes : - A quatre pattes, le chien ! m’ordonne-t-il Etrange sensation, mon sac gonflé tel un ballon de baudruche, ballotte entre mes cuisses A peine suis-je installé dans la posture ordonnée que le Maître entre dans la chambre. - Alors, vous avez terminé ? - Voilà votre ...