Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (2) - Histoires de Sexe

Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (2)

... quelque peu. Une fois allongée à ses côtés, j’ai plongé ma tête dans ses cheveux pour ensuite lui embrasser le cou. Elle a été très réceptive à ma douceur, à mes baisers, à mes dernières caresses. Moi qui étais fière de mes talents pour donner du plaisir à Franck mon homme, j’étais maintenant fière de mes talents pour faire jouir Muriel. Quand elle a repris ses esprits, c’est elle qui a plongé sous les draps; mon petit doigt me dit qu’elle avait envie de me rendre la pareille. Sans grandes surprises, elle a pris la même position que moi à savoir entre mes jambes qu’elle m’a forcée à écarter en grand. Par contre contrairement à moi, elle s’en est prise assez rapidement à mes seins; au début elle m’en titillait la pointe avec ses doigts mais régulièrement, elle venait me les sucer, me les mordiller, me les aspirer..., c’était vraiment divin. Il n’y a pas à dire Muriel connaissait le corps d’une femme parfaitement et savait où il fallait agir pour donner du plaisir à coup sûr. J’avais un peu honte mais elle me faisait un bien fou, j’en arrivais à lui griffer le dos; quand elle a constaté le traitement que je lui m’infligeais, elle s’est mise à me griffer les flancs à la limite des draps. Dans un moment d’égarement, je me suis mise à penser; en combien de ...

... temps Marie notre supérieure allait être au courant de ce que nous étions en train de faire maintenant. Je ne sais pas si c’est parce que j’étais plus chaude au moment où elle est passée à l’action ou parce qu’elle était plus talentueuse que moi pour donner du plaisir; toujours est-il que j’ai pris mon pied plus vite que Muriel. Par contre le pied que j’ai pris ce soir-là était bien différent de ceux que me procuraient Franck ou moi quand je me faisais du bien toute seule. Il était bien plus intense, j’avais l’impression qu’il venait de bien plus loin; il m’a littéralement clouée au lit dix minutes durant. Même si on a l’impression de ne plus exister pendant que l’on est au septième ciel, ce moment est vraiment formidable dans l’aboutissement d’une jouissance. Durant cet instant qui n’est qu’à nous, il ne faut pas nous toucher, il est inutile de nous parler; nous sommes ailleurs. Que l’on soit homme, que l’on soit femme, quand on découvre la jouissance; on a envie d’y regoûter à coup sûr, on a envie de se retrouver dans cet état second, on a envie de se retrouver entre deux eaux. C’est après nous être données du plaisir mutuellement que nous nous sommes endormies..., amoureuses et comblées. En espérant que ce second chapitre vous ait plu. Gros bisous à vous