1. Ma tante de 45 ans est sublime (14)


    Datte: 21/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... caresses... — Cette fois mon chéri, on peut aller se coucher. — Oui ma douce Chantal. — Toi tu veux encore me faire craquer... — Non, je suis crevé. — C’est bien la première fois ! Dit-elle en souriant. Nous allâmes dans la chambre en faisant un détour par la salle de bains. Chantal se brossant les dents, j’en profitai pour lui caresser ses fesses parfaites. La vision de sa chute de reins enflamma tous mes sens, je restai derrière ma tante pour lui caresser le ventre et remonter vers ses seins précieux. Mes mains passèrent en douceur sur ses tétons encore en effervescence de nos ébats et je ravivai une nouvelle agitation chez ma tante. — Tu m’as dit que tu étais fatigué ? — Ca n’était que passager. — Tu m’excites mon chéri. — Je le sens ma douce Chantal. Lui dis-je en lui baisant le cou. Ma tante se rinça les dents en délaissant mes mains afin d’y rejoindre le lit. Elle se blottit le dos contre moi tout en continuant à me laisser lui stimuler sa poitrine. Je ne sus si ma tante l’avait oubliée, mais la lumière de la salle de bains nous amenait une ambiance tamisée. Mon travail commença à payer quand je perçus à travers mes doigts ses tétons se durcir sous des petits râlements bien câlins de ma tante. Elle se retourna sur le dos et cette fois-ci, j’aperçus la silhouette, le profil de sa poitrine ainsi que celui de son visage charmant. Chantal prit ma main pour l’entrainer vers son intimité sans un mot. Je ne fis qu’effleurer cette partie de son corps pour à nouveau m’occuper ...
    ... de sa poitrine. Ma tante eut un long soupir. Elle écarta le drap avec ses jambes et les replia tout en les écartant. — Lèche moi mon chéri. — Est-ce bien raisonnable à cette heure ? Lui dis-je pour la taquiner un peu. — Rien n’est raisonnable et je suis ta tante, alors viens lécher le sexe de ta douce Chantal... Tout en descendant, je la couvris de baisers le long de sa poitrine fleurissante, je promenai ma langue sur son ventre lisse puis je me positionnai en face de son sexe ravissant. Je regardai ma tante, nue devant moi, son sexe à l’air et ses seins fringants. Je craquai littéralement devant sa beauté intemporelle, devant ses formes sorties d’un manuel d’anatomie. Certes la perfection n’existe pas mais devant le corps nu de ma tante, je repensai à cette phrase d’un certain peintre moins illustre que d’autres, Gozin de son nom qui disait "La simplicité est l’habit de la perfection". J’en déduisis que ma tante se trouvant dans le plus simple appareil, elle en avait revêtu l’habit de la perfection. Elle glissa un oreiller sous son bassin me permettant d’avoir une vue globale de son entre cuisse. Ce geste bien attentionné requit toute mon attention ; il fut évident que Chantal mourrait d’envie de se faire déguster avec âpreté par son jeune neveu. Une pensée furtive me traversa l’esprit. J’étais en train de m’apprêter à lécher le sexe de la sœur de ma mère, sa sœur attendant follement mon arrivée ! Je chassai cette idée, même si ce côté interdit fut fort excitant. J’avais ...
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