1. Ma tante de 45 ans est sublime (14)


    Datte: 21/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... multiples baisers sur ses orteils si précieux à mes yeux. Ma tante émit un léger soupir en guise de satisfaction. Elle entrouvrit ses cuisses, signe que mon opération séduction s’avéra fructueuse, aussi j’en profitai avec habilité à y glisser ma main entre ses cuisses. Puis, mon sexe désireux de ma belle partenaire me commanda de passer à une étape supérieure. Je regardai les yeux bleus de ma tante pour m’y perdre, tel un naufragé sur une île déserte. Une île dans laquelle je l’emmenai à son insu comme en parlait si bien le poète. Une île au large de l’amour Posée sur l’autel de la mer Satin couché sur le velours... Chantal, couchée sur le canapé en fut mon inspiration. Je me tournai pour me retrouver face à ma tante, ou plutôt face ses pieds dégageant un érotisme insoupçonné de sa part. De baisers successifs, j’entraînai mes lèvres dans cette quête ultime de ses orteils. Successivement, chacun d’eux frôla mes lèvres et Chantal tendit ses pieds pour les porter à ma bouche. J’eus de par ce geste un oui tacite de ma tante pour m’occuper au mieux de ses beaux pieds fins. Sans rentrer dans les détails, je léchai le dessus de ses orteils puis, de manière progressive, je les introduisis dans ma bouche et me mis à les sucer ardemment. J’adorai les pieds de ma tante sans penser un instant que je fus une sorte de fétichiste des pieds (!). — C’est bon ce que tu me fais Jean. Chantal posa ses orteils délicats sur mon torse. Étant en nuisette, ses jambes furent découvertes et je pus ...
    ... enfin admirer l’intimité de ma chère tante. Son sexe fut parfaitement épilé et quoiqu’elle en dise, largement épanoui pour une femme inquiète... Je délaissai ses orteils reluisants pour porter mon attention vers la saveur de son entrecuisse. Je ne pus que rester Béa devant le sexe de ma tante. Je redevins ce naufragé face à mon île... Une île Chaude comme la tendresse Espérante comme un désert Qu’un nuage de pluie caresse. Tel un caméléon, je fus nuage. En approche de ce sublime désert, je vis les dunes longilignes s’ouvrirent devant moi. Elles disparurent de ma vue quand je fis face à cette terre aride, vierge depuis 3 années de toute empreinte humaine. Je me dissipai en forme de gouttelettes et passai d’espoir à réalité pour me faire caresse auprès de cette île de tendresse. J’enveloppai mon île chaude comme la tendresse dont les feuilles d’un palmier me firent une caresse en guise de bienvenue. Je repris forme humaine pour m’aventurer dans cette verdure verdoyante, abandonnant les plages de sable fin toujours aussi longilignes et si douces. Chantal m’offrit son intimité en écartant ses dunes pour y voir ses feuilles de ce palmier resplendissant. — Je suis prête mon neveu, tu peux venir. Dit-elle en faisant un léger mouvement de son bassin. — Avec un grand plaisir ma si belle Tatie. Je la sentis soulagée en me disant ces mots et désormais, il me fallut atteindre le haut de ce palmier qui allait m’offrir son fruit haut perché, renfermant une liqueur âprement convoitée. Le nuage ...
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