L'auberge espagnole
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
Je m’appelle Marie, la trentaine fringante et, d’après ce que je vois dans les yeux des hommes, je suis plutôt à leur goût. Dans la rue, au bureau ou même au restaurant, je sens leurs regards sur mes jolies fesses, bien galbées, ou dans mon décolleté. Je suis mariée avec François depuis trois ans mais nous sommes en couple depuis plus de dix ans et je crois bien que cela fait presque six ans que je ne me suis pas retrouvée seule, vraiment seule, sans mon mari. Alors, lorsque mon patron m’a proposé une mission de six mois à Londres, j’ai d’abord pensé refuser. Mais après réflexion, j’ai accepté. Quelques petits coups sur la porte de ma chambre et celle-ci s’ouvre. — Salut, Marie ! Un jeune homme entre dans ma chambre. — P*tain, Stephen, tu ne peux pas attendre ma réponse avant d’entrer ? Il se dirige automatiquement vers ma bouilloire électrique et, après avoir vérifié qu’il y a assez d’eau, la met en route. — Ça va, tu n’étais pas à poil !— Je ne fais pas ça, moi, dans ta chambre !— Tu devrais : je me balade souvent nu, répond-il avec un sourire. Stephen est un collègue suédois et il vit dans le même hôtel que moi. En fait, nous vivons dans cet hôtel depuis deux mois, depuis que ma société a décidé de créer un groupe de travail international à Londres. Nous sommes cinq personnes issues de pays différents dans cette équipe. Nous sommes tous logés dans cet hôtel. L’ambiance, l’éloignement me rappellent mes années à la fac, sympa mais un peu étrange aussi. Donc, ça fait un peu ...
... plus de deux mois qu’Enzo (l’Italien), Dieter (l’Allemand), Stephen (le Suédois), Juan (l’Espagnol) et moi (la Française) nous nous sommes retrouvés en groupe restreint. Ce qui est marrant, c’est le sous-nombre de nanas dans notre équipe : quatre garçons et une fille, moi. Du coup, comme je suis la seule femme, c’est dans ma chambre qu’ils viennent se confier, chercher de l’aide ou qu’ils débarquent à vingt-trois heures pour boire du thé, puisque je suis la seule à avoir pris une bouilloire. Je suis une couche-tard, je ne dors jamais avant deux heures. Du coup, ils savent qu’ils peuvent s’incruster dans ma chambre jusqu’à tard dans la nuit. Voilà comment je me retrouve à avoir presque tous les soirs dans ma chambre un de mes quatre compagnons d’exil, et si ce n’est pas l’un, c’est l’autre ou les quatre à la fois. Je les aime bien ; on passe des soirées sympas où on se marre en écoutant de la musique et en buvant un verre de rhum/Martini-gin ou même un thé ou un café de temps en temps. Mais c’est très dur aussi de les avoir constamment. D’abord parce que, même si je m’entends bien avec eux, j’ai besoin d’une présence féminine, quelqu’un avec qui partager des discussions de femmes… Mais ce qui devient le plus dur, c’est de rester fidèle à mon mari. Lui est resté à Paris. Oh, je l’aime, je suis même folle de lui. Le problème, c’est qu’au bout de deux mois, le manque de sexe est de plus en plus présent ; il se transforme presque en une espèce de besoin bestial qui fait frissonner ...