1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 632)


    Datte: 22/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (2/5)- Je fais connaissance avec les quatre hommes, qui, je l'apprends à ce moment là, vont s'amuser avec moi tout le week-end, le Maître étant absent pour le moment m'a en effet prêté à eux pour me dresser pendant 48 heures. D’abord, je découvre Walter, le domestique, c’est celui que j'ai sucé en premier et qui m'a posé le gode. Il est grand mince très « anglais » par son flegme apparent mais assuré au regard froid et impassible, brun, bien monté avec un regard bleu perçant. Le deuxième, Alexandre, le conducteur grand, châtain aux yeux noisette est celui qui m'impressionne le plus par son immense corps d’athlète . Ils semblent amis. Les deux autres, prénommés Jérome et Serge sont plutôt des hommes de main mais bien aussi membrés il faut l’avouer. Jérome est un beau noir, ce que je n'avais pas remarqué dans la pénombre du couloir. Après cette séance mémorable, ils me laissent récupérer une petite heure dans un cachot, juste sur un matelas, sans me laisser libre pour autant : ils prennent garde de m'attacher à un anneau scellé au mur avec une chaîne assez longue, reliée à mon nouveau collier de chienne qui lui-même se verrouille avec un petit cadenas : même les mains libres, je ne risque pas de l'enlever ! Je garde aussi le gode en permanence en moi ceinturé par une lanière de ...
    ... cuir, qui me gêne un peu pour me déplacer dans cette cellule ou je traîne ma chaîne qui mesure environ de 2 mètres…Je suis tellement épuisée d'émotions que je m'endors ensuite presque instantanément. Il est 22 heures, je suis partie depuis seulement que 2 heures de chez moi ! Je suis réveillée à 23 h 30 par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir sa bite pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir : au bout de quelques minutes, il attrape la chaîne reliée à mon collier, la détache de l’anneau et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le gode planté en moi. J'arrive dans une salle que je ne connais pas encore (je saurais plus tard, qu’elle est située au rez-de-chaussée du donjon). Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de ...
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