1. Soirées au salon


    Datte: 23/03/2018, Catégories: 2couples, strip, pénétratio, Oral jalousie, ff, 69, hh, hdanus, hsodo, ffh,

    ... va. Elle n’ajoute pas« tu auras l’occasion de te rattraper » car elle ne sait si elle en a envie après cette déconvenue. Du coin de l’œil elle surveille l’autre couple. Ils n’en finissent pas ces deux-là. La fierté de la performance de son époux est tempérée par un soupçon de jalousie. Odette revient à elle. Le frottement insistant de la verge réveille le désir. Elle replie les genoux et serre l’homme contre elle. Julien fait attention. Jusqu’ici il a pu se maîtriser, ce n’est pas le moment de flancher. Il reste immobile. Son énergie se focalise sur son bas-ventre pour éviter d’éjaculer prématurément. Odette joue du bassin, assurant le glissement générateur de jouissance. Julien crispe les orteils. Il tente avec l’énergie du désespoir de se contrôler. La sève monte dans la tige. Odette raidit, lance son ventre contre le pubis de son amant. Il soupire d’aise, il peut se relâcher. Il donne les derniers coups de reins libérateurs avant de s’effondrer sur la jeune femme satisfaite… oooOOOooo — On dirait que mon mari t’a fait grimper aux murs ! Les deux jeunes femmes prennent une douche. Le ton de Florence alerte Odette. — Qu’est-ce que t’as ? On dirait que t’as pas joui.— Pas tout à fait. Est-ce qu’il est dans les habitudes de ton mari de laisser ses partenaires insatisfaites ?— Non, mais cela lui arrive de temps en temps. Tu m’en veux ?— Ne dis pas de bêtise, t’es pas responsable. Tant mieux pour toi si Julien a su te transporter au septième ciel. Tu me dois simplement une ...
    ... compensation.— Qu’est-ce que tu veux faire ?— Nous asseoir sur le même canapé.— Sur le même… Oh ! Tu veux…— Oui, pour me consoler, tu dois accepter qu’on se caresse.— De… devant les…— Oui devant nos hommes, qu’ils comprennent que s’ils sont défaillants nous savons nous passer d’eux. Odette cherche une excuse. Elle a peur que la honte de s’exhiber devant son mari l’empêche de jouir des caresses de Florence. — Mais il est tard.— Il n’est que dix heures.— Pas plus ? Il lui semblait pourtant que l’étreinte avec Julien s’était prolongée une éternité. — Non, ma chérie. Tu vois, c’est pas l’heure d’aller au lit !— Tu… Tu crois ?— Bien sûr, je suis sûre que cela te plaira, insiste Florence qui comprend la vraie raison de la réticence d’Odette. Allez viens ! Il est temps de retrouver nos hommes, ils vont se demander ce que nous fabriquons. Les maris se réconfortent avec des boissons fortes. Aucun n’a envie de parler. Pour dire quoi d’ailleurs ? La satisfaction pour Julien ou la déception pour Jean ? Ils préfèrent s’abstenir et sirotent leur whisky. Le silence devient pesant. Ils sont tout heureux du retour des femmes. Julien voit avec plaisir Florence se diriger vers son canapé. Sa joie est de courte durée. — Allez du vent !— Quoi ?— Oui, laisse-nous la place à Odette et moi.— Mais…— Tu croyais pouvoir disposer de moi ? Tu t’es trompé. D’ailleurs, ajoute-t-elle après un coup d’œil à la verge flasque, t’es pas en état de dicter tes conditions.— Patiente juste un moment et tu verras.— ...