A trois : fera, fera pas ? - Histoires de Sexe

A trois : fera, fera pas ?

... Camille contemple à présent le corps lourd et reposé de sa maîtresse qui est restée ouverte et trempée devant elle. Elle se masturbe tout doucement, comme pour ne pas la déranger. Après une jouissance presque silencieuse, elle retire le gros sexe resté dans la chatte de Lydia. Elle le porte à sa bouche, et comme Lydia quelques instants plus tôt, elle le lèche de haut en bas, récupérant cette fois sur sa langue la cyprine de son amie. Cet orgasme laisse les deux filles dans un état de semi-sommeil, une sorte de douce somnolence. Ce sont les trois coups frappés à la porte qui les tirent de leur torpeur. Camille se lève, encore dans son peignoir, toujours ouvert. Elle ouvre la porte à Samuel surpris et ravi qu’une toute jeune femme à demi-nue lui ouvre sa porte. — Bonsoir, je suis Camille.— Bonsoir, Samuel, le mari de Lydia.— Oui, elle est là, entrez. Une fois dans le salon, Samuel découvre sa femme dans la nuisette d’une autre, recroquevillée sur le canapé, à moitié endormie, le visage vers le dossier et donc montrant ses fesses. Sans culotte, en position fœtale, Lydia exhibe son petit postérieur et laisse voir son anus dilaté par le désir. En entendant les coups frappés à la porte, elle s’est introduit les boules de Geisha dans le vagin et s’est tournée vers le dossier, s’abandonnant au plaisir et au repos. — Bonsoir Lydia ?— Hmmm…— Ça va Chérie, tu dors ?— Non, je ne dors pas, dit-elle en se retournant. Je profite du moment.— Oui, je vois, tu en profites bien, ...

... apparemment.— Oh, ne te fâche pas s’il te plaît. Embrasse-moi. Samuel se penche sur sa femme et lui pose un bref baiser sur la joue. — Non, mieux que ça.— Tu aurais dû être plus claire. Si tu veux faire l’amour à plusieurs, préviens-moi avant !— Je suis désolée, je ne veux pas t’imposer les choses. C’est juste que je me suis un peu endormie et que je ne suis pas encore rhabillée. Mais j’en ai pour une seconde, je me lève. Lydia se lève effectivement et commence à remettre son soutien-gorge. Camille s’aperçoit que les boules de Geisha sont restées au chaud dans le ventre de la belle peste qui essaie de faire croire à son mari que tout ça est un pur problème de synchronisation. Samuel est coincé entre le désir qu’il a de regarder sa femme se rhabiller -tout en sachant que cela va l’exciter- et la pudeur qui fait qu’il n’ose pas se retourner vers Camille restée derrière lui. Cette dernière comprend que s’il ne regarde pas Lydia, il ne devinera pas les boules de Geisha, elle s’avance donc vers le canapé en proposant à Samuel de s’asseoir et de prendre un verre. — Tu peux, Chéri, pendant que je me rhabille, ajoute Lydia d’une voix déterminée.— Oui, d’accord, je veux bien un verre de vin. Lydia a déjà remis sa culotte, mais pour enfiler son pantalon, elle s’approche de son mari qui se retrouve à moins d’un mètre de la ficelle des boules de Geisha dépassant du sous-vêtement. — C’est quoi, ça ? Oh… Non, ne répond pas… À part ça, tu as juste oublié de regarder l’heure ! Tu es incroyable ! Dites ...