1. Domination féminine 3


    Datte: 23/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Clinton et Donald Trump qui serait décisif pour le vote final. Il resta là, une bonne vingtaine de minute, à s'ennuyer devant la télé, à bander un peu aussi. Son érection augmentera soudainement : « tu peux venir ! » lorsque la voix de Cynthia résonnera avec un timbre suave et érotique. Tony se lèvera. Cravate défaite, aux pieds des chaussettes grises, un pantalon noir, une chemise blanche, il se dirigera vers la chambre en poussant une bosse devant son pantalon. Il traversera la porte en rut. La chambre de Cynthia ressemblait à celle d'une adolescente : en désordre, des habits recouvraient le sol, des papiers pétris contenant des ébauches ou des brouillons narratifs jalonnaient le sol. Tony aimait que cette chambre gardait cet aspect, cela rassurait quelque chose en lui. Le drap vert aux imprimés fleuris qui recouvrait le matelas était froissé ; à côté du lit un petit bureau soutenait un ordinateur portable, celui-là même sur lequel Cynthia rédigeait ses romans eaux de roses pour adolescentes ; près du bureau s'imposait l’armoire en bois composite dont l'intérieur contenait les vêtements de Cynthia KALINA, de la lingerie très fines, des uniformes de policières, d'infirmières, d'écolières, qu'elle portait selon le désir, un jour, tous achetés en compagnie de Toni au sex-shop. Soutenue par des escarpins en daim soulignant ses longs membres nues elle se tenait devant le lit debout jambes ouvertes. Son vagin visible laissait voir sa vulve dense et le pointu de son clitoris ; de ...
    ... courts poils noirs ornaient son pubis. Un haut à longue manche très moulant de couleur rose recouvrait son buste et épousait les formes rondes de ses seins ; sous ses courts cheveux blonds peroxydés résidait un visage aux traits justes, aux lèvres rouges, aux yeux embellis et sévères. Elle tenait à la main une tapette en cuir noir courte mais un peu large possédant en surplus décoratif un ruban rose tressé comme l'arrière d'un corsage. Tony qui regardait l'ensemble fait de noirs, roses, marrons, rouges, de nichons, de vulve, fondu érotiquement. « Mets-toi à quatre pattes puis viens me lécher ! ». Il se met à quatre pattes. Il rampe vers les jambes de la femme. Il les atteint. Il reste à quatre pattes. Il attend le prochain ordre de sa Maîtresse. Elle garde le silence. Elle prend tout son temps. Le voir soumis ainsi, suspendu à ses paroles, à ses ordres, à ses désirs, picote l'intérieur de sa vulve. « À genoux ! » Il s'agenouille. « Regarde-moi dans les yeux ! » Il lève la tête puis regarde sa Maîtresse dans les yeux. Ils se fixent, se fixent, se fixent. La tension sexuelle monte entre eux. Le pantalon de Tony est au bord de l'explosion. Il sait qu'elle peut les faire choir dans cette position indéfiniment. Il endure la douleur aux genoux et l'excitation frustre aux couilles. Elle pose la tapette en cuir noir sur la tête grisonnante de son soumis ; elle lui caresse les cheveux avec, elle lui caresse le visage, elle claque son épaule avec la tapette en ordonnant : « lèche-moi ! ...
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