Broken Wings
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
école,
amour,
fsoumise,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
nostalgie,
... c’est aussi jouissif que de conduire un bus entre la porte de la Chapelle et celle d’Italie, et moi, ça m’emmerde. J’ai essayé, ça gagne nettement moins, mais je préfère le contact d’élèves comme vous. Et puis, accessoirement, ça me permet de voler quand je veux et où je veux, sans n’avoir de compte à rendre à personne.— À défaut de piloter, vous pourriez peut-être les former…— Peut-être… Mais ma vie se résume à deux dictons : le premier, « C’est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde. » Et le second, c’est « Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… » Et ces gens-là sont tous de génies, le problème est qu’ils croient l’être encore plus qu’ils ne le sont. Et ça, croyez-moi, c’est non seulement fatiguant mais surtout infiniment dangereux. Alors, je préfère rester avec des gens comme vous. Puis, passant que coq à l’âne : — Je vous invite au restau, ce soir ? Il paraît que le chef a concocté un soufflé aux écrevisses et morilles absolument à tomber. Ah, et j’ai reçu le colis que vous m’aviez demandé de commander ainsi que son mode d’emploi, j’avoue que j’ai très envie d’essayer.— Excellente idée, il me tarde d’ailleurs de savoir comment vous allez vous débrouiller.— À ce sujet, oserais-je vous demander de vous habiller comme vous l’étiez l’autre fois ?— C’est à dire, sans…— Tout à fait. Vous savez, on a beau dire que l’on n’apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces, il ...
... n’empêche que quelques fois, il n’arrive pas à s’y habituer. Vous êtes un rayon de soleil dans mon existence.— Merci… C’est bien connu, dans la vie, on s’habitue à tout, surtout au meilleur. Resto sublime, repas fabuleux, plats d’une incroyable finesse et d’une créativité sans bornes, accord des vins, tout est parfait dans ce endroit, jusqu’à cette suite que Michel a réservé pour nous deux. Dans le colis soigneusement emballé dans du papier de soie, je sais très bien ce qu’il y a, c’est moi qui l’ai demandé. Alors, sans dire un mot, au beau milieu de couloir qui même à la chambre, je dénoue lentement le cordon de ma robe qui tombe sur le sol dans un bruit feutré. Michel m’avait demandé de remettre un porte-jarretelles et des bas, c’est de très bonne grâce que je m’y suis pliée. Et, toujours selon ses désirs, la culotte est restée aux abonnés absents. — Bon, maintenant, même si j’ai préparé le matériel tel que vous me l’avez demandé, il va falloir que vous m’aidiez quelque peu. Pour moi, c’est de l’inédit…— J’y compte bien… Inédit, inédit, moi je veux bien… Déjà, la façon qu’il a de poser la corde de soie autour de mon cou en prenant soin qu’elle ne me scie pas les épaules me laisse à penser qu’il n’en est pas à son coup d’essai. Ensuite, il fait lentement descendre le double brin entre mes seins, s’attarde à ce que les nœuds soient le plus plat possible, jusqu’à ce qu’il arrive au sillon de mon sexe. — Là, j’avoue que j’ai un dilemme. Que dois-je faire ?— C’est facile. Soit vous le ...