Broken Wings
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
école,
amour,
fsoumise,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
nostalgie,
... vous voir pleurer m’a singulièrement mis mal à l’aise. Et le fait que vous jouissiez comme jamais après les coups que je vous avais porté ne m’a pas rassuré pour autant… J’avoue que je ne comprends pas. — Par contre, vous voir là, devant moi, nue et ficelée selon les règles du Shibari, j’avoue que c’est terriblement excitant. Savoir que je peux vous faire ce que je veux aussi, mais c’est un autre problème. Mais dans tous les cas, il n’est plus jamais question que je vous frappe, d’une manière ou d’une autre. Dans ma tête, je ne sais si c’est le sentiment de soulagement ou de frustration qui l’emporte le plus. — Par contre, puisque vous êtes toujours ma captive… Sans brutalité, il me prend dans ses bras, m’allonge sur le lit en prenant soin que ma tête ne repose pas complètement sur le rebord du lit, et sort aussitôt sa queue. Pas la peine d’avoir fait St-Cyr pour savoir ce qu’il veut, le voilà parti dans une fellation d’enfer, je n’ai que le temps de me remémorer les techniques qu’il faut utiliser pour les gorges profondes, et après quelques haut-le-cœur assez désagréables, je parviens à l’engloutir tout entier. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus fier, lui, qui a sans doute réussi à réaliser ce qui n’était jusque-là qu’un fantasme de plus, ou moi, qui réussis la chose sans grande difficulté. Bien entendu, je vais plusieurs fois jusqu’à l’extrême limite de l’étouffement, mais entre nous, dans ce jeu de cons, où serait le plaisir si l’on ne tutoyait pas les ...
... limites ? De cela, bien entendu, il s’en rend compte, et malgré le plaisir que visiblement cela lui procure, il décide d’arrêter les frais, et passe de l’autre côté du lit. Saucissonnée comme je le suis, je ne peux évidemment rien faire, ce qui ne m’empêche pas de lui parler. — Faites de moi ce que vous voulez, je vous l’ai déjà dit. Mais si j’ai une supplique à vous faire, c’est de me remettre sur le ventre. Je commence à avoir des fourmis dans les bras et la position est en train de devenir insupportable, je ne sens plus mon dos. S’il vous plaît… Bien entendu, il accède à ma requête, mais en y ajoutant un détail que je n’avais pas prévu : il attrape un oreiller, puis un autre, qu’il cale juste sous mon bassin, ce qui lui offre une vue imprenable sur mon cul et mon anus. Vous m’avez dit l’autre fois que vous aimiez les hommes qui ne s’encombrent pas de chichis ? Eh bien, c’est ce que l’on va voir… Là, d’un seul coup, d’un seul, et avec une brutalité insoupçonnable chez un homme raffiné comme il sait l’être, il écarte les deux cordes qui l’empêchent d’accéder à ma rosette et s’y enfonce d’un trait, sans aucune préparation. Le cri que je pousse alors a de quoi faire trembler les murs… Mais en fait, il s’agit bien plus d’un cri de surprise que de douleur. Déjà, sans vouloir être désagréable, je n’en suis pas à ma première sodomie, et j’ai déjà pris dans mon fondement des queues d’un autre calibre. De plus, depuis que je suis attachée, je ruisselle, et il y a belle lurette que ma ...