1. Une tente pour deux


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, grosseins, vacances, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, init, inithf,

    ... de langue dans le vide. — Action ! La réponse a fusé, sans hésitation cette fois. Il est mûr. J’arrête mes mouvements, lui saisit la main avec laquelle il se masturbe. Il semble seulement se rendre compte à ce moment-là de ce qu’il faisait. Il est tout penaud, le pauvre. Je lui dis de regarder dans la poche de mon sac et d’y prendre ce qui s’y trouve. Il fouille et me regarde, l’air perdu. Je l’encourage à sortir ce qu’il a trouvé. Il tient une capote entre le pouce et l’index. Il bafouille. — À toi !, lui dis-je avec un sourire. Il regarde l’enveloppe brillante comme si c’était la première fois qu’il en voyait une. Il s’humecte les lèvres, rendues sèches par l’excitation, puis me pose la sempiternelle question. J’hésite à faire durer encore le jeu en répondant vérité cette fois-ci. Mais j’ai trop envie, j’ai le ventre en feu, je le veux en moi, je veux le dépuceler. — Action ! Il me regarde, assise en tailleur, le duvet ne cachant plus que mes mollets, la chemise ouverte. Il reluque mes seins aux tétons dressés de désir, ma chatte ouverte, uniquement couverte par le ticket de métro que forment mes poils pubien. Il est ridicule, son tee-shirt trop grand qui baille, son caleçon largement déformé par sa queue bandante et complètement trempé à l’endroit où son gland touche le tissu. Il tient à la main le préservatif enveloppé. Je tends la main et saisis la capote. Je fais mine de m’éventer avec et lui demande, en ronronnant : — Alors, cette action ? C’est pour ...
    ... aujourd’hui ou pour demain ? Il hésite, incapable de se décider. Très, bien je le fais pour lui. De mes ongles, je déchire l’emballage et prend l’anneau entre le pouce et l’index. Je lui ordonne de baisser son caleçon, ce qu’il fait immédiatement. Sa queue se dresse désormais à l’air libre. Pas très grosse, mais fine et longue. Je touche la peau si sensible à cet endroit-là. Sa bite a un spasme. J’adore ça, jouer avec les nerfs des mecs. Je pose la capote toute enroulée sur le bout de son gland et, après avoir pincé le réservoir, je la fais glisser le long de sa hampe dressée telle un obélisque. Une fois qu’elle est installée complètement, je laisse ma main à la base de son sexe. Je joue avec mon index et mon majeur, caressant ses couilles pleines. Je m’allonge sur le dos et l’attire à moi. J’écarte les jambes et le guide en moi. Que c’est bon de sentir cette queue pleine de désir dans mon ventre trempé ! Comme j’en avais envie ! Il n’ose pas bouger, le timide. J’ondule des hanches, le faisant pénétrer entièrement dans mon antre brûlant ! Il crie, il jouit, et s’effondre sur mon épaule ! Le porc ! Et moi alors ? Je le repousse, il me regarde et me dit : — Wahou… C’était trop bon… J’ai envie de le gifler. Tout ça pour ça ! Et moi alors ? Je vais être obligée de me contenter toute seule ? Je le lui fais remarquer. Il est tout penaud et s’extirpe de mon con. Je crois bien que je vais être obligée de lui apprendre les bonnes manières, et que ça m’occupera le reste des vacances ! 
«12345»