1. S et moi


    Datte: 14/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... par son boulot pour s en occupé. Apres avoir reposé ma tasse, je la suivi vers sa chambre,si quelque année plus tot je l avait suivi dans cette piece intime, peut etre aurais je fait autre chose que de l electricité, en ayant cette pensé je ne put retenir un sourire.On entra dans sa chambre, cette chambre était a son image, soft et tres impersonelle, chez moi j en ferais meme pas une chambre d amis. pas une photos, peinture d un ton bleu pastel tres triste, et placard encastré a porte blanche, un valet de nuit avec quelques vetement corectements déposé dessus, les siens a elle surement vu la taille.elle m indiqua son coté, celui ou la prise elec ne fonctionait plus.Elle me dit de faire ce que je pouvais, et elle s éclipsa en me disant qu elle allait couper le courant et continué son ménage.Une nouvelle fois j étais decu qu elle me laisse seul comme ca au lieu de me faire la conversation. pour que cette satané prise( deja decus d avoir accepter, et d etre recu comme un étranger) soit accecible je devais retiré la table de nuit sans cassé la lampe posé dessus, et ensuite poussé le lit sur quelque centimetre. je pousse le lit et la je vois un morceau de tissu posé sur le sol, pas ...
    ... tres gros , au premier coup d oeuil je pris ca pour un petit chiffon oublié par la fée de ce logis.Mais au moment ou je le ramasse je constate que ce n est pas un chiffon, mais une petite culotte,je suis d abord perdu, un peut bête, et puis un instint refouler de quelque année, m oblige a continuer l inspection de ce moceau de tissu blanc, tout en dentelle sur le devant, et en coton derriere tre échancré, aun tanga ou string. Je fut troublé par cette decouverte et encore plus quand je découvri qu il avait été égaré avant de passé en machine.Le fond etait légérement souillé de ciprine, je senti une grande chaleur envahir mon corps, et d un réflexe incontrolé ou pas je me mis a sentir le fond du string, odeur enivrante de l intimité de s..je me mis a pensé a son sexe qui avait passer une journée, peut etre la veille, contre la dentelle, j etais comme dans un état second lorsque je sorti ma langue de ma bouche pour en posé la pointe sur le petit carré qui servait de fond.Le gout salé de sa ciprine envahi mon cerveau totalement déconecté de la réalité.J étais en train de humé et lecher le fond du string, a son insus, d une femme que j avais autre fois désiré sans rien lui dire..... 
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