1. Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fhh, extraoffre, fépilée, vidéox, Masturbation Oral fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe,

    ... Jean n’avait aucune idée de ce qu’elle pouvait avoir derrière la tête, et nous nous demandions ce qu’elle pouvait bien inventer… Cette fois-là, elle nous fit un show comme la première fois ; mais au lieu de jouer avec son vibro, elle attrapa une seconde chaise qu’elle adossa à la première. — Allez, mes loulous, venez vous asseoir : je vais jouer avec vous. Nous nous étions dit qu’elle devait avoir oublié son histoire de vengeance, mais elle nous fit vite comprendre que l’heure de la revanche avait sonné. D’abord, elle joua effectivement avec nous, se frottant à nous, s’asseyant parfois sur un genou, ou dandinant ses fesses presque à hauteur de nez. Évidemment, nous avions envie de la toucher ; mais dès qu’une main s’approchait, elle lui mettait une petite tape en disant« Hé, pas touche ! ». Elle nous connaissait : elle savait que nous mourrions d’envie de la toucher ; et c’est bien ce qu’elle avait prévu. Après encore une tape sur une main baladeuse, elle nous sermonna : — Vous n’êtes que deux vilains garnements ! J’ai dit « pas touche », alors on ne touche pas. D’ailleurs, je vais faire en sorte que vous ne puissiez plus bouger ! Elle souleva un coussin du canapé et sortit de la cachette une corde pliée en forme de 8. La lumière se fit en nous : elle n’avait pas oublié et avait décidé de se venger maintenant ! Et bien entendu, nous ne pouvions refuser ; d’ailleurs, nous ne protestâmes que pour la forme lorsqu’elle entreprit de passer la corde autour de notre poitrine, ...
    ... chacun étant emprisonné contre le dos de sa chaise, saucissonnés ensemble. Oh, il ne nous aurait pas fallu un grand effort pour nous libérer ; mais ni Jean ni moi n’avions envie de nous sauver. Au contraire, nous entrâmes bien volontiers dans son jeu. J’eus toutefois une hésitation lorsque Sofie se saisit d’une des bougies allumées sur le vaisselier, et qu’elle commença à la faire tourner pour, je le devinais, obtenir le plus de cire chaude possible. Mais je ne m’enfuis pas ; j’assumai. Après tout, c’est moi qui avais ouvert les hostilités. Sofie fit couler quelques gouttes sur la poitrine de chacun ; la brûlure ne durait pas, et la cire, en refroidissant et en se figeant, laissait une sensation de tiraillement pas désagréable, après tout. Le ton étant donné, elle nous détacha et nous ordonna de nous allonger sur le dos sur le canapé. Elle continua à jouer avec la cire, en commençant par moi. Les gouttes tombaient sur ma poitrine ; l’une d’elles pile sur un téton, me tirant un petit cri de douleur. Mais le picotement devint très vite agréable et la cire séchée finit par occasionner un tiraillement comme une succion de bouche, ce que mon téton apprécia (et donc moi !). Dans un mouvement lent, Sofie descendit ; ce fut le tour de mon ventre, puis des cuisses, et je voyais bien qu’elle se rapprochait de mon sexe en érection reposant sur mon ventre sous le nombril… Je ne bougeai toujours pas, jouant le jeu à fond. J’avais une confiance absolue en Sofie. Lorsque les premières gouttes ...
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