Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
fépilée,
vidéox,
Masturbation
Oral
fgode,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
confession,
totalsexe,
... lui perforait l’anus, doucement au début, puis quasiment sans pitié. Le son était extrêmement excitant : on entendait parfaitement ses gémissements, ses cris, ses paroles crues, son magnifique cri de jouissance. Et on entendait aussi mes grognements, mes halètements, tous ces bruits que je ne pensais pas émettre lorsque je baise. On entendait même le bruit de mes couilles frapper sa chatte à chaque coup de boutoir. Lorsque Sofie sortit enfin des vapes, elle vint nous rejoindre, enveloppée dans la couverture, et nous demanda si c’était réussi. Nous l’invitâmes à s’asseoir sur une chaise de camping et de juger par elle-même ; mais avant de s’asseoir (oui, je vous rassure, elle pouvait encore s’asseoir), elle me fit un bisou tendre sur la bouche, roula un patin amoureux à son homme et nous dit tout simplement : — Merci, les gars ; j’ai pris un pied d’enfer. Je n’ai malheureusement plus ce film… Quelques semaines après ce formidable après-midi, j’eus un terrible accident de voiture. Je fus extrait de mon véhicule juste avant que celui-ci ne prenne feu, détruisant tout le contenu du coffre et de l’habitacle. Et dans ce coffre, mon sac de matériel photo. Planquée dans une poche, la carte mémoire contenant notre petit film. Par crainte que ma femme ne tombe dessus, je n’avais jamais transféré la séquence sur mon ordinateur ; quand je voulais revoir le film, je sortais la carte de sa cachette. L’accident dont je fus victime détruisit complètement ma voiture. Mais aussi la cabine ...
... du camion qui m’avait percuté ; son conducteur n’avait pas pu en échapper. J’estime donc avoir eu énormément de chance. Malgré un coma de trois jours. Malgré plusieurs côtes cassées qui se réveillent parfois aujourd’hui et me rappellent ma survie quasi-miraculeuse. Malgré une jambe cassée, fracture ouverte au tibia droit. Malgré trois mois cloué sur un lit d’hôpital, et plusieurs longs mois de rééducation douloureuse. Mais j’étais vivant, et ma femme et ma fille veillèrent sur moi et m’accompagnèrent même dans les moments les plus difficiles, ceux dont on se dit après« mais j’ai été un monstre ! ». J’aurais aimé pouvoir reprendre contact avec Sofie et Jean. Comme nous n’avions pas de connaissances communes, ils ne surent jamais ce qui m’était arrivé. Mon téléphone portable avait brûlé dans la voiture, y compris la carte SIM qui contenait leur numéro. Mon compte mail ayant été clôturé durant ma longue hospitalisation, je n’avais plus leur adresse de messagerie. Lorsque je pus, plus d’un an après, conduire à nouveau, j’essayai de retrouver leur rue : peine perdue dans ce dédale. J’étudiai même une carte de leur ville, essayant de me remémorer le nom de la rue. Ce n’est que deux ans presque jour pour jour après notre après-midi classée « porno » que je finis par tomber tout à fait par hasard sur un flyer publicitaire où Sofie, sous un autre pseudo, offrait ses services en tant que danseuse érotique, enterrements de vie de garçon, etc. Fébrilement, je composai le numéro et, à la ...