1. Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fhh, extraoffre, fépilée, vidéox, Masturbation Oral fgode, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe,

    ... toujours pas joui, mais nous avions tous les trois besoin d’une petite pause. Un bon rafraîchissement, un peu de papote ; elle constata que j’avais encore une certaine vigueur, et elle avait encore faim. Elle fit s’asseoir son homme à côté de moi, s’agenouilla devant nous, et nous suça en alternance ; celui qui n’avait pas droit à ses lèvres était compensé par la douce caresse de ses mains agiles. Jean tendit à sa tendre amie un préservatif qu’elle s’empressa de me mettre. Elle se redressa et revint me chevaucher. Jean avait repris de la vigueur lui aussi ; il lui glissa quelques mots à l’oreille. — Oh non, je ne pense pas que notre invité ait quelque chose contre une double, n’est-ce-pas ? Que non, je n’avais rien contre. Bon, j’aurais adoré pouvoir être celui qui l’honorerait par son orifice le plus étroit, mais je me contentai de sa chatte, ce qui était déjà magnifique. Je ne devais pas me montrer trop gourmand, quand-même ; je me conformai aux règles. Jean prit le tube de lubrifiant, en mit une noix sur un doigt et, pendant que Sofie continuait ses mouvements assez lents sur mon chibre, il fit entrer le doigt dans ce si joli popotin. Elle fut très vite prête. Il se positionna derrière elle et la sodomisa en douceur. Elle nous demanda de ne pas trop bouger, car elle aimait mener la danse lors de ces doubles pénétrations. Elle commença un mouvement lent, s’empalant sur nos deux sexes, puis elle accéléra pour bientôt jeter ses fesses contre le pubis de son copain. Je ne ...
    ... jouis pas vite quand on me chevauche ; mais en voyant son doux visage rayonner de bonheur et de plaisir, lorsque ses yeux se plissèrent, que sa bouche s’entrouvrit, que son sourire afficha l’arrivée de l’orgasme, je fondis et je jouis bruyamment. Ma jouissance déclencha la sienne. Elle se crispa tout en continuant à bouger ; et là, c’est Jean qui déchargea dans le rectum de sa dulcinée. Il nous fallut un moment, après nous être séparés, pour reprendre notre souffle. Comme Sofie s’était recroquevillée sur Jean, elle entre lui et moi, je caressai son dos, ses épaules, lui fis de tendres bisous dans le cou, ce qui lui arracha quelques frissons. Elle m’avoua, lors d’une autre rencontre, que ces caresses douces, pendant qu’elle était dans les bras de son bien-aimé, avaient été pour elle une révélation sur la relation qui naissait entre nous trois. En fait, elle discuta avec lui, après mon départ, de la façon dont mes « papouilles » l’avaient aidée à se relaxer encore plus dans ses bras, à quel point cela avait démultiplié son bonheur du moment présent. « Papouille » devint donc mon surnom ; et à chaque fois, je me faisais un devoir (tu parles d’un devoir : j’adore ça ; c’était un plaisir !) de lui faire mes papouilles. Notre première rencontre s’était tellement bien passée que, très vite, ils m’invitèrent à revenir les voir. Comme une véritable complicité s’était installée entre nous trois, j’élaborai, avec la complicité de Jean, un plan pour la surprendre et lui faire passer un ...
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