Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
fépilée,
vidéox,
Masturbation
Oral
fgode,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
confession,
totalsexe,
... voulons ! Mais je te rassure, c’est ton homme qui a la clé, et je sais que tu as confiance en lui pour qu’il te détache si tu te sens mal. Je savais que je ne prenais aucun risque ; en lui disant ces mots, je me rapprochai pour coller mon corps contre le sien, et ma queue fièrement dressée dans mon boxer sous mon pantalon vint se placer contre ses mains placées contre ses fesses, entre nous deux. Elle aurait pu m’écraser le sexe, voire m’écrabouiller une couille ; mais, comme je m’y attendais, elle tâta la forme dressée contre ses paumes, et n’écrasa point. Au contraire, après une seconde ou deux, elle commença un geste de caresse. Jean fit de même devant elle ; son sexe vint lui labourer le ventre pendant qu’il l’embrassait amoureusement. Dès cet instant, les choses s’accélérèrent. Je dégageai son top sans bretelles en le tirant vers le bas ; ses petits seins me devinrent accessibles et je commençai à les torturer tendrement, pendant que de l’autre main je passai sous sa mini-jupe et lui malaxai ses jolies fesses musclées. Jean n’arrêta pas de l’embrasser, tout en lui glissant la main dans son string arachnéen. Le bruit était révélateur lorsqu’il lui doigta le sexe : elle était devenue trempée quasiment instantanément, preuve que la situation surprenante et subite n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Peu à peu, tout en continuant nos caresses, Jean et moi nous déshabillâmes ; j’enfilai un préservatif car nous avions prévu, lors de la préparation du plan, de ...
... la prendre chacun à notre tour en changeant souvent, la faisant tourner et retourner entre nous. Toujours derrière notre prisonnière, je la retins par la taille, mon sexe entre le sillon de ses fesses, et la poussai vers l’avant en appuyant sur ses épaules. Elle ne pouvait donc que se plier, les poignets toujours entravés, les jambes bien droites. Elle se trouva tout naturellement avec la bouche à hauteur de la queue de son chéri, qu’elle engouffra sans hésiter. Elle avait compris : son rôle, ce soir, serait celui d’un objet dont l’unique raison d’être serait d’extraire de ses deux mâles un maximum de plaisir. Tout cela dans le plus profond respect pour elle ; et, bien entendu, elle y trouverait sa part de plaisir aussi. Je ne pouvais évidemment pas, dans la position dans laquelle elle se trouvait, bien campée sur ses fines et musclées jambes, la bouche enfournant un sexe, manquer de m’occuper de sa croupe et de sa petite chatte ainsi offertes. Je m’accroupis derrière elle et fis passer ma langue depuis son bouton de plaisir jusqu’au plus profond de sa raie culière, insistant sur les points stratégiques. Je me relevai, et d’un coup enfilai mon mandrin dans son intimité dégoulinante. La soudaineté de l’intromission totale lui arracha un soupir d’aise étouffé par la colonne de chair qui occupait sa bouche. Je lui assenai quelques profonds coups de bite, puis je proposai à Jean : — On échange ? Sofie crut quelle devait se retourner, mais je la bloquai dès le premier signe de ...