1. Nathalie


    Datte: 24/03/2018, Catégories: fh, fplusag, amour, revede, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, init, prememois,

    ... écartant mes doigts, je parcourus ses grandes lèvres et titillai son clitoris, puis posai mon autre main sur une de ses épaules. Par moments, je m’abaissais pour lui embrasser la nuque et lui caresser le dos et les seins avec mes mains. Parfois, maladroitement, mon membre sortait : avant de le renfoncer en elle, je lui frottai son clitoris avec pendant quelques instants, pour varier un peu son plaisir et pouvoir durer encore plus. Lors d’une de ces pauses, elle se releva sur ses bras et se cambra encore plus, alors que je m’appuyais sur une de ses épaules. Elle était encore plus serrée que d’habitude, je me sentis prêt à éjaculer, aussi je lui proposai si elle voulait encore continuer. Alors je me retirai quelques instants pendant lesquels je continuai à la besogner mais avec mes doigts et caressai le creux de ses reins, puis je me réintroduis, sentant que mon envie de gicler était passée pour un bon moment. Rapidement, elle eut un orgasme, mais, en équilibre sur mes genoux, je continuai mes va-et-vient, empoignant ses deux seins. Sentant que ses gémissements se rapprochaient à nouveau, je glissai mes deux mains vers son pubis, lui caressant l’aine, les grandes lèvres et le clito. Elle eut un second orgasme, mais je n’étais toujours pas calmé. Elle me proposa alors de ne plus bouger : ce serait elle qui allait me faire jouir. Elle s’appuya à nouveau sur ses avant-bras, serra ses mains et ferma les yeux puis, haletante, ...
    ... se mit à faire des va-et-vient alors que je restais immobile, lui caressant le dos et les seins. Elle avait un air vraiment décidé, presque sévère, serrant les lèvres, accentué par ses cheveux tirés en arrière par le chignon ; je la sentais vraiment concentrée sur ce qu’elle faisait. Bien qu’ému par ses efforts, je sentais que ça ne venait toujours pas, mais que par contre, pour elle, un troisième orgasme beaucoup plus violent était en vue : passant mes doigts sur le pourtour de son orifice, sentant ma tige à travers, elle poussa un grand cri et finit par s’effondrer sur le lit. Elle se recroquevilla en repliant ses genoux sous son ventre et se laissa faire, inerte, criant juste. Je restai en elle, ayant passé mes jambes à l’extérieur des siennes, et vins me coller à son dos, calant ma tête entre son épaule et son chignon et lui embrassant le cou. Cette fois-ci, c’était moi qui donnerais le rythme pour enfin pouvoir me vider. J’avais presque mal à force… Ondulant, je sentis la sève commencer à monter en moi, j’accélérai la cadence, et d’un coup mes yeux se brouillèrent. Je mis plus d’une minute à me vider totalement en elle, avant de m’immobiliser enfin. Et de lui redire : — Joyeux anniversaire, Nathalie ! Après quelques instants elle me dit : — Merci pour ce beau cadeau, je ne rêvais pas d’autant ! Depuis ce jour inoubliable, nous vivons ensemble et allons nous marier. Pour la nuit de noce, le programme est déjà prévu… 
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