Week-end en Suisse
Datte: 24/03/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
nympho,
collection,
amour,
facial,
Oral
fsodo,
uro,
attache,
humour,
... Mathias. — Monsieur Michalon que faites-vous là, comment êtes-vous entré ? Qui sont ces gens ? Qu’est-ce qui se passe ?— Il se passe Monsieur que vous êtes chez moi, répliqua Alfred, heureux de son effet.— C’est un malentendu, je vais tout vous expliquer, tenta Mathias, les yeux rivés sur le portail, à 20 mètres de lui. Sylvie sentit que le moment d’agir était venu. Elle souleva promptement son pull, découvrant ses seins nus. Le proprio écarquilla les yeux. Elle se tourna vers Mathias. — Cours ! hurla-t-elle. Son amant ne se le fit pas répéter. Il prit ses jambes à son cou en direction de la sortie. — Bon eh bien ! Ce fut un plaisir de vous connaître, fit-elle. Les deux couples en restaient comme deux ronds de flan. Elle aussi se mit à courir vers le portail ouvert. Elle entendit à peine le propriétaire du chalet lui intimer l’ordre de s’arrêter, elle avait rejoint la BM prête à accélérer. Les deux amants éclatèrent d’un rire franc et nerveux. — On a eu très chaud, il va falloir faire vite. Encore une fois, tu m’as sauvé la mise, ma chérie. Mathias posa sa main sur la cuisse de sa maîtresse : — Tu vas me manquer. ************************************************************* Ils avaient repris leurs valises à l’hôtel, payé la note, puis Mathias était passé à la banque. Ils se firent leurs adieux à l’aéroport. Une ultime fois, il put caresser sa maîtresse dans la froideur genevoise. Des larmes coulèrent sur les joues rougies de Sylvie. — Je te retrouve bientôt ma chérie, très ...
... bientôt…— Oui, oh oui, donne-moi vite de tes nouvelles ! C’était un merveilleux week-end, inoubliable. Elle le regarda encore s’éloigner sur le tapis roulant qui menait à la salle d’embarquement. Sylvie traîna un peu dans l’aéroport, perdue dans ses pensées. Elle revivait ces deux jours de folie, entre envie de rire et crier sa rage que cela soit déjà fini. Elle avait un merveilleux amant, vivait de folles expériences, mais il était déjà loin. En sortant de l’aérogare, elle s’approcha du premier taxi. Se pencha et frappa à la fenêtre passager qui s’ouvrit. — Décidément, vous ne pouvez plus vous passer de moi ! Samuel ! Au moins, le retour à la gare serait joyeux… Une heure et une pipe crémeuse plus tard - elle avait encore économisé une course - elle regardait défiler la campagne rhodanienne. ************************************************************* — Alors, c’était bien ton petit week-end ? Laurent avait demandé cela sans la moindre ironie, trop heureux d’avoir retrouvé sa femme. Sylvie était rentrée la nuit même sans faire de bruit, se glissant dans les draps chauds et se serrant sur le corps de son mari. Elle buvait son café du matin, seule, dans la cuisine lorsque son homme était apparu. — Oui oui… Je suis désolée pour ce qui s’est passé mon amour, ça ne se reproduira plus… Il se posa en face d’elle. — Non, c’est moi, je n’aurais pas dû m’emporter comme ça. Ils croisèrent leurs doigts en signe de réconciliation. — J’étais en Suisse, lança la blonde.— Pour y faire quoi ...