Camille
Datte: 26/03/2018,
Catégories:
fh,
ff,
oncletante,
telnet,
Masturbation
intermast,
Oral
... raison. Qu’elle les garde après tout, ce qu’on voulait c’était des talons, et affiner les chevilles, allonger les jambes et relever les fesses, faire rebondir son petit cul à hauteur de ta queue. Mon Théo, bon… On arrête de discuter tu veux bien. En tous cas, ta petite salope de maîtresse mérite, pour son oubli, qu’on la fesse… Comment ? Vas-y oui ! Maintenant. » Une boîte de mouchoirs a aidé Niagara — une goutte, un mouchoir. Le menton relevé, l’oreille dirigée vers la voix elle écoute, attentive, le fin morceau de papier à la main — c’est l’absorption sur tous les plans. Elle s’avance encore vers le salon, prenant appui avec le flanc d’une jambe sur le petit sofa du hall, et de son nouveau point de vue sent quelque chose bouger. Elle comprend vite ce qui se passe ; c’est la porte de sa chambre, elle l’a laissée ouverte ce matin et ce n’est nullement son habitude. C’est qu’un miroir en pied y est fixé et qu’elle s’y regarde toujours avant de sortir, et pour cela il est nécessaire que le vantail soit clos. À l’instant, l’entrouverture ouvre un angle différent — d’ordinaire, lorsqu’elle rentre, elle aperçoit une moitié de son corps, une partie de l’encadrement de la porte du hall d’entrée et le bout de mur qui jouxte, avec un petit tableau. Aujourd’hui, le reflet de Camille apparaît. La jeune fille est affalée dos à l’accoudoir du canapé. Elle s’est tressée des nattes afin, peut-être, de n’être pas gênée dans l’utilisation du combiné du téléphone. Un chemisier mauve est ...
... ouvert sur ses seins nus — sa couleur préférée pour les hauts ; elle trouve que cela sied à l’ombre de ses aréoles. Ses genoux et sa jupe sont relevés. On voit un bout de sa culotte et ses pieds nus posés sur le canapé. Niagara se trouble, et doute soudain de la réalité de ce qu’elle voit. C’est que, si Camille se trouve bien en train de parler au téléphone, elle ne tient aucun combiné. Elle s’en émeut encore un instant et c’est un fil qui la fait s’écarter de son trouble, le fil de l’écouteur branché sur un portable. Noir, il longe la pointe d’un sein dressée, l’encercle à demi et court vers son oreille. « C’est son putain de nouveau kit mains-libres » se remémore Niagara à voix basse. Camille s’en est acheté un, et un autre pour Théo il y a un mois de ça. Justement, ses mains, elles sont libres, placées derrière sa tête, la soutenant, les coudes en l’air. Elle sent une autre goutte tomber sur l’intérieur de sa cuisse — le voisin se manifeste encore. « J’ai l’impression que tu n’y mets pas beaucoup d’énergie Théo », Camille s’est remise à parler. « Je n’entends pas. Elle mérite sa fessée, tu lui assènes, et correctement s’il te plaît. Je veux entendre les claques… Voilà. Le bruit du plat de ta main… Continue oui. Je veux aussi l’entendre se plaindre. Attends une seconde. » Elle saisit le fil du kit entre deux doigts et tente de l’enrouler autour d’un téton. Le fil est trop rigide et Camille le sert et l’enroule, pince son bout de sein de l’autre main afin qu’il demeure prisonnier ...