1. Ambassadeur de France aux antipodes (1)


    Datte: 14/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... culottes souillées de ma maman mais aussi de ma tante quand j’allais la voir. J’avais le nez juste en dessous du nœud de sa chemise et ma langue pouvait se faufiler sous l’ouverture de son short. J’ai pris confiance en moi en commençant à lui picorer le bas du ventre, je me suis alors étonné de constater oh combien elle était sensible à cet endroit-là. Je ne vivais que des premières aujourd’hui, ma première fellation, la première fois que j’embrassais le corps d’une femme. À la voir se contorsionner, j’ai pu conclure qu’elle aimait ce que je lui faisais. Ce qui me plaisait le plus c’était son odeur corporelle mélangée à sa fine odeur de sueur et surtout une odeur de minou qui n’était pas si loin que ça. Je venais d’arriver dans ce pays continent et j’avais projet d’y rester un an minimum, mon séjour s’annonçait bien. Je venais de lui déboutonner son mini short pour lui embrasser sa culotte, au moment où elle s’est remise à genoux devant moi pour se remettre à me pomper. Je sentais maintenant sa langue se promener sur ma barre de chair, toutes les secondes je sursautai de plaisir à chaque fois que sa langue changeait d’emplacement. Maintenant je lui caressais les cheveux ainsi que le dos, je soupirai maintenant de plus en plus fort, tant ma partenaire me faisait un bien fou. Avec une telle prestation buccale, ce qui devait arriver arriva, j’ai senti ma semence monter au bout de mon membre. Kristiana ne pouvait pas ignorer ce qui était en train de se passer, c’est à ce ...
    ... moment-là qu’elle s’est fermement accroché à mes fesses et a enfoncé mon sexe au fond de sa gorge. Quelques instants plus tard de longs jets de liqueur se vide est au fond de sa gorge, c’est ma partenaire qui dirigeait les opérations. Elle a continué à me pomper de longues minutes jusqu’à ce que cela devienne insupportable pour moi. Elle n’a pas perdu une goutte de ma semence, je venais de vivre ma première fellation. Bien qu’étant en sueur avec la température extérieure, je venais de me prendre une seconde suée. Kristiana s’est relevée, m’a regardé avec beaucoup de complicité, elle avait l’air comme satisfaite du devoir accompli puis m’a embrassé comme si elle voulait me faire partager le goût de ma semence. Nous sommes restés un long moment à nous regarder, comme s’il y avait du désir entre nous, avant de repartir travailler comme si de rien n’était. En une journée ou plutôt un après-midi je commençais à prendre de l’assurance dans ce que je faisais pour les travaux extérieurs. Nous avons quand même travaillé jusqu’à huit heures avant de ranger tous les outils dans la benne et de reprendre le chemin de la maison. Marie et Caroline nous attendaient pour passer à table, il était convenu que nous prendrions une douche après le repas. Durant le repas, Kristiana et moi n’avons pas arrêté d’échanger des regards pleins de complicité, peut-être même y avait-il un peu de désir. Les deux sœurs ont causé entre elles mais trop rapidement pour que je puisse saisir le sens de leur sujet de ...
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