1. Par le trou de la serrure


    Datte: 27/03/2018, Catégories: f, profélève, nympho, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation rasage, confession, humour,

    Résumé des épisodes précédents : «B&B, les premiers jours » et «Chester ? Huuum ! » Christian prend des vacances au Pays de Galles chez un particulier (formule Bed and Breakfast). Au fil de ses visites, il se remémore différents épisodes de sa vie amoureuse, et en particulier ses dernières ruptures. Une jolie blonde, petite fille de la logeuse suscite un intérêt croissant auprès de notre héros. Il vient d’accepter, après qu’ils aient fait plus ample connaissance, de partager avec elle en alternance la salle d’eau qui se trouve entre leurs deux chambres. — x X x — Christian venait de se réveiller ce lundi matin quand il vit, sous la porte de la salle de bain, un rayon de lumière. Il entendait la douche couler. Le trou de la serrure brillait dans l’obscurité. La tentation était grande. Il résista un bon moment, puis, repensant à l’épisode de la statue, il se trouva une justification en pensant que Patricia avait sans doute fait de même la veille. Il se leva et tenta de rejoindre la porte à pas de loup, mais le plancher craquait un peu. Il hésita, puis finalement, il se pencha et colla un œil au trou de la serrure. Patricia, de dos, en petite culotte et soutien-gorge était devant la glace en train de se maquiller. Le tableau était charmant, tout à fait au goût du jeune homme. La glace lui renvoyait l’image du buste de la jeune fille. Il devinait, à peine cachée par le soutien-gorge, une poitrine menue, mais correspondant tout à fait au reste de la personne et à son charme ...
    ... juvénile. Il admira surtout des jambes magnifiques qu’il n’avait pas eu l’occasion de voir jusqu’à présent, Patricia portant toujours des pantalons. Il resta là jusqu’à ce que la jeune fille quitte la pièce. Il lui sembla, à plusieurs reprises, rencontrer le regard de la jeune fille renvoyé par la glace, mais il pensa qu’il s’agissait probablement d’une coïncidence. — x X x — Le temps était exécrable. Plutôt que de se tremper en marchant dans la campagne sous la pluie, il décida d’aller jusqu’à Liverpool. Il avait entendu parler d’un vaste espace sur les anciens quais du port que l’on venait d’aménager pour abriter des animations diverses, dont plusieurs musées. Liverpool, la ville des Beatles… Souvenirs de jeunesse, avec son père qui à la maison écoutait régulièrement certains de leurs succès les plus célèbres. Et surtout Juliette, sa professeur d’anglais qui faisait traduire les paroles des meilleures chansons du groupe en classe et qui parlait si bien de cette époque à ses élèves. Il trouva Penny Lane. Il y fit quelques pas, puis il alla sur le port, sur les Albert Docks. Ici comme dans la plupart des autres grands ports européens, les activités portuaires se sont déplacées vers des zones totalement déshumanisées où sont stockées des montagnes de containers entre lesquelles circulent des engins qui ne dénatureraient pas une BD de science-fiction. Les marins, eux, ne connaissent plus ces quartiers qui leur étaient autrefois dédiés. Pauvres Philippins, Indonésiens et autres ...
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