1. Tapón del Darién - 3


    Datte: 28/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... distancer. C'est à croire que les scientifiques se sont entraînés en vue de cette mission!Il finit par y avoir un écart de plus en plus grand avec le porteur qui est devant moi.Je n'arrive pas à remonter et là, "SSSwwwwithhh", "Aaaiiiiee!!", Je prends un méchant coup sur le mollet gauche, puis, "SSSwwwwithhh", "aaaiiiiee!!", un autre sur le mollet droit! Yara me frappe avec une longue branche souple.Je fais un bond en avant en gémissant et je recolle à la caravane.Je lui dis, "J'avance, Maîtresse, ne me frappez pas!"Je serre les dents... et avance... mais, je prends encore une dizaine de coups sur les mollets et le bas des cuises. Mon pantalon de toile est bien collé à ma peau et il me protège à peine.Enfin... on s'arrête. Un Indien m'aide à enlever cette armature qui me scie les épaules.Je frotte mes mollets.Yara crie, "Viens ici."J'y vais aussitôt et je bredouille, "Pardon, Maîtresse, je ne suis pas sportive et je n'arrive pas..."Elle me coupe, "Tu vas y arriver."Elle déballe le pique-nique. Aujourd'hui, il s'agit de sandwichs achetés au village...Ensuite, ce sera des conserves...Yara me dit, "Toi, tu sers les porteurs."Je vais donner des sandwichs. Le costaud qui est le chef des porteurs ma dit, "Tu dois faire un effort, tu ne peux pas nous ralentir.""Je comprends, Monsieur, mais je n'ai jamais fait ça..."Il tâte mes cuisses et remonte même vers mes fesses, "Tu es bien musclée, tu vas vite apprendre."Je vais m'asseoir et mange tristement mon sandwich en frottant, mes ...
    ... mollets...Yara a été donner à manger et à boire aux archéologues qui sont un peu plus loin.Quand elle revient, elle va s'asseoir près de Willy et moi.Il lui dit, "N'oublie pas qu'ils n'ont pas voulu un encadrement personnalisé. Je les guide, tu les nourris, c'est tout. Et, c'est bien parce qu'elle m'a donné la petite que j'ai été d'accord."Ils parlent en dialecte avec les porteurs. De la radinerie des archéologues, je suppose.Quand ils arrêtent de parler, je pose ma main, sur le mollet de Yara et lui dit, "Vous n'êtes pas fâchée, Maîtresse?"Elle hausse les épaules, "Si tu ne vas pas assez vite je te fais avancer, c'est tout. Je ne suis pas fâchée!"C'est lourd pour moi."Un des porteurs dit, "Pour nous aussi!"Ouais, j'aurais mieux fait de la fermer!Dès qu'on a mangé, on repart... La végétation devient plus dense. Il fait très chaud et très humide. J'aimerais observer les jolies fleurs des orchidées et des plantes épiphytes, mais Yara, n'a pas envie que je fasse la touriste. Dès, que je ralentis, je prends un coup de sa branche en travers des cuisses et des mollets. Je pousse un cri! Les Indiens ne comprennent pas que je crie pour si peu et se moque de moi. Je prends bien une douzaine de coups, à nouveau... La douleur dans mes jambes et dans mon dos, se mêle à la douleur des coups de Yara.Au moment, où j'ai l'impression que je ne saurai plus faire un mètre sans m'évanouir, on s'arrête. Mes jambes tremblent.Le guide parle aux porteurs en dialecte, mais, il y en qui me dit, "On ...