1. Science - à peine de - fiction


    Datte: 28/03/2018, Catégories: fhh, ffh, couple, cadeau, boitenuit, danser, Oral fsodo, hdanus, hgode, sf,

    ... et évident de vivre de telles soirées. » D’ailleurs je me lève, et c’est à mon tour de me déshabiller. Elle ne peut que remarquer la queue raide jaillissant à la lumière, preuve que je suis plus que consentant. Je vais m’asseoir à côté d’elle. Mari et femme côte à côte et un amant qui lutine l’abricot offert. Marc a pris possession de son corps. Sa bouche suce, ses mains explorent chaque centimètre de peau, s’attardent sur les seins et arrachent des gémissements de plaisir. Les nombres m’indiffèrent maintenant, mes yeux me suffisent, et discrètement je cache mon oreillette sous un coussin. Un long moment il la lutine. Elle n’en peut plus de plaisir. Je bande comme un taureau et Anne me flatte la queue d’une main rendue maladroite par son plaisir. Marc se relève, vient échanger un baiser avec sa maîtresse, échange de salive et de coulures féminines. Mon cœur se pince. Leur complicité semble si naturelle, ce baiser est plus fort que toutes les joutes sexuelles. Il s’éloigne, pour revenir avec un préservatif et, devant nos yeux, en recouvre son dard qui semble encore plus long de près. Anne ferme les yeux. Il se place, pousse, et le bâton entre sans difficulté. Un gémissement. Elle ouvre les yeux. Son regard va de son amant à son mari, comme surprise que ce soit si simple. Marc commence à la besogner. — Tu te souviens du film ? Je susurre à l’oreille de ma femme pendant que son amant s’active lentement. Elle ne comprend pas. Son regard est flou, elle est déjà dans son trip. Une ...
    ... lueur : elle a compris. En un instant, elle fait le parallèle entre nous et ce film avec ce mari complaisant qui assistait sa femme et son amant. Deux scènes. La première la femme était… Anne bouge. Elle se lève, s’agenouille face à moi et avec une lubricité que je ne connaissais pas vient gober ma verge. Marc, dans un bel élan, se place derrière elle et l’embroche en levrette. Un regret, un seul : pourquoi n’ai-je pas pensé à immortaliser l’instant en filmant la scène ? Quel crétin je fais ! Les caméras sont programmées pour le visage d’Anne. Je pourrais me repasser plus tard le signal capté, preuve du plaisir reçu, mais rien sur la scène. La partie est bien lancée. Mon fantasme avoué et celui de ma femme, plus diffus, se réalisent. Marc la baise avec vigueur et ma propre queue ressent son ardeur. La pièce est remplie des bruits de la chatte qui dégouline et laisse échapper ce gémissement si agréable et érotique du piston qui la travaille. Mais aussi nos petits cris d’hommes qui apprécient. Mais encore – et pour moi le meilleur – celui de la gorge de ma femme qui me pompe, qui sous la pression de son amant se retrouve avec ma queue au plus profond de sa gorge et une salive si abondante qu’elle déglutit bruyamment. Combien de temps avons-nous résisté ? Je ne sais pas. En tout cas, c’est moi qui suis venu le premier, excité par la sucette, mais aussi et surtout par la vision torride de ma femme entreprise par un autre. Mon foutre s’est mêlé à la salive, formant des filets et ...
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