Science - à peine de - fiction
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
... clandestinité, ou tout le moins se sont montrés discrets. Famille, mariage, enfants. Certains ont fait le rapprochement avec la France pétainiste, sauf qu’heureusement personne n’occupait la France et que le mouvement était mondial. Mais rien n’est jamais gravé dans la pierre. Depuis quelque temps, les créateurs prennent des libertés avec les tenues vestimentaires féminines. Ceux qui ont une culture historique établissent un parallèle avec l’apparition de la mini-jupe vers 1965. Mon couple – je suis marié avec Inès depuis trois ans – n’est pas comparable à celui de mon père, du moins du temps d’Anne. J’aime ma femme plus que tout, mais quelquefois je me demande si elle m’aime autant et si le mariage n’a pas été pour elle qu’un moyen de fuir le carcan familial. Un exemple, le sexe. Inès ne se refuse pas mais elle n’est pas la partenaire dont je rêvais. Nous faisons l’amour, mais toujours à ma demande ; et si elle m’accorde une gâterie comme une sucette, je sens bien que c’est par devoir. Ses petits cris lorsque je la possède ne font pas illusion, je sais qu’elle simule. Par contre, elle n’est pas insensible lorsque je la caresse et lui suce son abricot. J’ai trouvé un moyen pour qu’elle aussi ait son plaisir. Après l’avoir caressée longuement, je la possède ; mais avant de jouir, je me retire. Alors, installés face à face, je me masturbe pendant qu’elle se caresse. Ainsi, chacun peut atteindre l’orgasme, les yeux dans les yeux ; et finalement, c’est extrêmement érotique. En ...
... quarante ans, la techno a beaucoup évolué mais l’invention de mon père a été facilement transposable car essentiellement basée sur lesoftware. MonQuantum 12 n’en a fait qu’une bouchée. Vive les ordinateurs quantiques, qui ont non seulement une puissance de calcul inégalée, mais savent aussi travailler comme un cerveau humain, avec des intuitions. Mon appartement est très ancien ; aussi y cacher quelques caméras a été très facile. Je suis les pas de mon père et espionne les habitants. En fait d’habitants, il y a moi, Inès et Swana. Comme la loi sur les économies énergétiques l’impose, nous mettons une chambre à disposition et on nous a attribué Swana. On aurait pu trouver pire. Swana est une étudiante africaine qui est en cinquième année de médecine. Elle est chez nous depuis plus d’un an. Inès et elle sont les meilleures copines, complices au point que quelquefois je me sens mis à l’écart. Pourtant, Swana, j’en ferais bien mon quatre heures ! C’est une belle fille avec une peau d’ébène et un port de reine. Si le monde a changé, celui où évoluent les apprentis médecins conserve – à ce qu’elle en raconte – une longue tradition de liberté sexuelle, et elle a fait des confidences à ma femme. Si j’ai bien saisi, Swana n’est pas insensible au charme féminin. La comparaison avec mon père s’arrête là. Si j’espérais un nombre qui aurait pu m’encourager avec Swana, eh bien, non. Je l’inspirais comme une journée pluvieuse. Idem pour ma femme. Décidemment, j’étais loin des fantasmes que ...